Re: Quand l'I.A. pète les plombs sur la RR.

J’aborde ici un domaine qui n’est pas vraiment celui de la relativité mais qui est en relation avec elle, celui de la variation de la longueur d’onde en fonction de la vitesse.

La longueur d’onde des ondes mécaniques et des ondes électromagnétiques varie au premier degré de la vitesse relative de l’émetteur et du récepteur (en v/c). Ce phénomène est appelé effet Doppler https://www.methodephysique.fr/effet_doppler/?utm_content=cmp-true . Ce phénomène est mis en évidence par la dérivée particulaire de la longueur d’onde qui est fonction de la vitesse. http://res-nlp.univ-lemans.fr/NLP_S_M02_G02_01/co/Contenu_13b.html

Par ailleurs, des expériences ont montré que la  longueur d’onde des ondes électromagnétiques varient également au second degré de la vitesse (en v²/c²).  La négativité de l’expérience de Michelson-Morley induit cette variation de la longueur d’onde avec la vitesse si l’on considère qu’il existe un éther luminifère, toutefois elle peut s’expliquer par l’absence d’éther. L’expérience de Fizeau avec un courant d’eau met en évidence ce phénomène de manière incontestable, http://www.lumipy.fr/documents/Fizeau_A3.pdf .

La variation de la longueur d’onde au premier degré de la vitesse n’est pas dû à une variation du temps, pourquoi en serait-il autrement pour la variation de la longueur d’onde au second degré ?