Re: De la relativité des distancesP

Le dimanche 2 juillet 2023 à 17:52:36 UTC+2, François Guillet a écrit :

Si la durée propre était invariante, une horloge déplacée puis ramenée
à son point de départ ne marquerait pas un décalage par rapport à une
horloge identique restée sur place, puisque les deux auraient leur
temps propre, Tr, "réel" selon vous, qui se serait écoulé de la même
façon.
Exit votre naïve hypothèse d'une "apparence" quand le décalage est
réel.

D’où tenez-vous que le décalage est réel ?

Après quelques années, le déclic, j'ai enfin vu clairement ce que les
plus gros QI que le mien avait compris avant moi. Donc soit j'ai de
l'avance sur vous et vous finirez par comprendre aussi où vous vous
fourvoyez, soit vous avez renoncé à comprendre, sûr de votre savoir,
sans même vous poser la question du pourquoi tant de grosses têtes
pensent différemment, et alors enfermé dans votre Dunning-Kruger, vous
allez tourner en rond comme Hachel jusqu'à la fin de votre de vie. Ceci
dit, on peut mourir en ayant raté beaucoup de choses :-).

Vous inquiétez pas pour moi, j’ai quitté votre paradigme. C’est un peu, non c’est tout à fait semblable à la situation où quelqu’un vous dirait au sujet du géocentrisme: soit j'ai de l'avance sur vous et vous finirez par comprendre aussi où vous vous fourvoyez, soit vous avez renoncé à comprendre, sûr de votre savoir, sans même vous poser la question du pourquoi tant de grosses têtes pensent différemment.
Comme le disait Coluche: ce n’est pas parce qu’is sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison.
Le dimanche 2 juillet 2023 à 17:57:32 UTC+2, François Guillet a écrit :

j’ai écrit :

Disons que je SAIS que le temps est absolu et que la relativité est
galiléenne et non pas einsteinienne.

Vous ne savez pas, vous croyez.

Non! C’est l’inverse vous croyez que la relativité est einsteinienne et je SAIS qu’elle est galiléenne. Vous croyez que je dis ça à la légère, sans avoir tourner et retourner le problème dans tous les sens et sans avoir une solution de rechange ?
Le dimanche 2 juillet 2023 à 11:23:29 UTC+2, j’ai écrit :

On a donc deux approches de ce phénomène, celle de l’observateur terrestre qui préconise la variation des durées avec la vitesse et celle de l’observateur lié à la particule qui ne trouve pas de variation du temps mais une vitesse différente de celle de l’observateur terrestre. Laquelle choisir ?

 Poincaré et Einstein ont pris celle de l’observateur terrestre et comme les expériences et les observations se font depuis la Terre, cette approche les vérifie, mais elle comporte des incohérences.. J’ai choisi l’autre option, celle d’un observateur situé sur la particule, vision qui n’en est pas moins valable et qui, elle, est cohérente.
L’approche d’Einstein est une position géocentrique, c’est le point de vue d’un observateur terrestre. La mienne s’en dégage, c’est une vision plus générale, (en toute modestie, bien sûr).