Sujet : Re: Putain merde...
De : r.hachel (at) *nospam* frite.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 10. Jul 2023, 16:10:31
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Le 10/07/2023 à 16:37, Python a écrit :
Le 10/07/2023 à 13:03, Richard Verret a écrit :
C'est pas un verbiage creux sur des catégories métaphysiques
fumeuses et un fatras de formules insensées sorties de nulle
part qui va rivaliser avec ça. Soyez réaliste une seconde !
Mais t'es même pas capable de comprendre la notion de covariance relativiste, eh, rigolo!
T'es un guignol.
Je recommence :
Richard Hachel a dit, béni soit-Il, et adorée puisse être sa sainte pensée relativiste et ses équations éternelles : "L'un des éléments clé de la théorie de la relativité, c'est la notion de covariance. Les lois sont covariantes dans tous les milieux, et les effets sont réciproques et covariants entre eux dans tous les référentiels". Mais cela peux-tu seulement le comprendre? Cela veut dire que si l'on veut une perfection de l'idéologie, aucun passe droit n'est possible.
Et pas plus sur les vitesses apparentes que sur d'autres choses. Je suis dans un référentiel R, et j'observe un objet qui s'éloigne de moi à v=0.8c.
Mais pour cet objet (je m'excuse pour le lecteur d'être aussi trivial, mais nous avons affaire à du lourd avec ce Python), c'est MOI qui s'éloigne de lui à v=0.8c. On va passer en vitesses réelles.
Pareil! L'objet s'éloigne de moi, à Vr=1.333c (Richard Verret Copyrights), et pour lui, c'est MOI qui s'éloigne à Vr=1.3333c.
On va passer aux vitesses apparentes (ce qu'on voit dans les télescopes). Chacun voit l'autre s'éloigner avec une vitesse apparente Vapp=0.4444c.
Il faut que ça reste réciproque.
TOUT est cohérent et réciproque en effets physiques (sinon la théorie s'effondre et on revient à l'espace absolu et à l'éther luminifère). YBM nous raconte que non, et que Richard Hachel est un con, un criminel, un malade, un assassin au QI d'huitre, et qu'il faut d'urgence l'empêcher d'exercer, d'enseigner, de corriger. Moi, je veux bien...
Mais tu ne m'empêcheras pas d'penser que t'es quand même une sacrée plaie. R.H.