Sujet : Re: Le photon, ses longueurs et largeurs, ses causalités.
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Groupes : fr.sci.astronomie fr.sci.physiqueDate : 07. Oct 2023, 10:42:49
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Le 05/10/2023 à 12:30, JC_Lavau a écrit :
Le photon, ses longueurs et largeurs, ses causalités.
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Physique/photon.pdf
feedback:
- dommage que tu n'ai pas pu te retenir de mettre a nouveau des expressions du style "l'église officielle" qui vont juste ruiner ta crédibilité pour le lecteur, alors qu'elles n'étaient en rien nécessaire au propos.
- si ce texte est prévu pour une lecture indépendante, peut-etre rappeler ce que sont la 1ere et 2nd quantification ? ou lien ?
- fuseau de Fermat: certes, mais tu ne dis pas à quoi il sert, où il intervient: les chemins en dehors ne contribuent pas ? ou marginalement ? un absorbeur tiers risque d'interagir essentiellement s'il est dans le faisceau ?
C'est la seule section où tu dérives des calculs, mais que doit-on faire avec les résultats ?
- section 6 pas encore rédigée, visiblement.
- plutot que dire "il n'existe pas de corpuscule", il serait plus précis et compréhensible de dire qu'un *modèle* à base de particules est moins efficace / plus compliqué pour rendre comptes de x y z.
D'autant que l'approche transactionnelle [tiens, je ne suis pas sûr que tu ais placé le terme+ref ici ?], si elle est commode dans les cas simples et donne des intuitions, ne permet plus de rien calculer pour les cas à 3 ou 5 partenaires, sans parler de l'interaction avec le bruit de fond Broglien. Auquel cas, si le modèle est philosophiquement intéressant mais ne permet aucun calcul, peut-on vraiment dire qu'il est intrinsèquement "meilleur" que les autres modèles ?
- A part ça il y a qqchose qui me gêne de façon récurrente dans plusieurs tes textes:
bien sur que la lumière est ondulatoire (ce que personne ne nie). Pour autant, tu peux très bien avoir un signal lisse sur de très grandes longueurs, et de telle façon que la notion de 9192631770 périodes soit bien définie, sans pour autant avoir un photon unique.
En gros le champs d'un photon c'est une fonction de Gabor (cos()*gauss()) [kx-wt] , dont la transformée de Fourier est une tâche Gaussienne autour de la fréquence théorique parfaite.
Il se trouve que quand tu sommes suffisamment de fonctions de Gabor translatées aléatoirement dans le temps, tu reproduis une sinusoide légèrement modulée autour de la fréquence ( et les variations d'intensité de l'enveloppe s'affaiblissent avec la densité de photons ). La phase n'est certes pas conservée, mais en soi ça suffit amplement pour définir le temps et la distance correspondant à 9192631770 périodes +- 1 et en déduire la valeur du mètre et de la seconde ( par contre il y a d'autres situations où conserver la phase est essentiel. Et concernant la métrologie, évidemment tout dépend du dispositif qui sera utilisé en pratique. notamment, interférentiel ou non ;-) ).
-- Fabrice