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Le 28/12/2023 à 16:26, Richard Verret a écrit :Sauf que cette histoire d’espace-temps n’existe pas, c’est un concept erroné, sauf que la simultanéité d’événements n’est pas relative, mais absolue (elle ne dépend pas des observateurs).C’est moi effectivement qui dis que la relation Vr = γVo n’est valable que pour les particules, c’est comme ça, elle ne s’applique pas aux ondes qu’elles soient mécaniques ou électromagnétiques.C'est peut-être ce que tu dis, mais ce n'est pas correct.
C'est simplement un problème de nature de l'espace-temps et un problème de relativité de la simultanéité.
Ben voyons! Les physiciens sont des cons et toi, tu vas leur expliquer la théorie de la relativité. Désolé, mais la théorie de la relativité est la théorie la plus stupide que l’on ait jamais faite, et je pèse mes mots.Désolé, mais là aussi, tu te trompes, il n’existe pas de paradoxe de Langevin.TOI, tu dis qu'il n'existe pas de paradoxe de Langevin.
Les physiciens admettent qu'il y en a un (le problème c'est qu'ils l'expliquent de façon très incorrecte).
Mais si on se met en place de la fusée, c'est la terre qui s'éloigne, et de plus en plus vite. Le paradoxe ressurgit. Pourquoi le temps passe-t-il quand même moi vite pour la fusée, alors que c'est la terre qui s'éloigne d'elle de plus en plus vite? Le paradoxe est le même.Voilà une question qu’elle est bonne! Parce que dans la théorie de la relativité considère que l’observateur est immobile, que le corps observé est en mouvement et que la durée réelle du voyage est le temps propre pour la fusée et le temps impropre pour l’observateur "immobile".
Si tu nies que le temps est relatif, tu nies que les longueurs sont relatives ; et si tu nies que les longueurs sont relatives, tu nies que les distances sont relatives ; si tu nies tout cela, tu nies que les vitesses sont relatives.D’après la théorie de la relativité itself, les longueurs perçues (impropres) sont moindres que les longueurs réelles (propres): Lp = kL, L’p = kL’, avec k = 1/γ pour des référentiels en m.r.u. l’un par rapport à l’autre. Pour une même longueur propre, on a L = L’.
Dans ce cas là, tu nies ta propre formule Vr=Vo/sqrt(1-Vo²/c²).Non seulement je la renie pas mais je la justifie: dLp = k dL, Vp = dLp/dt = k dL/dt = k v (ou kVr).
Au fait, que devient le paradoxe d'Ehrenfest, chez toi?Les dimensions ne change pas RÉELLEMENT: L = 2πR. Je ne sais pas ce que perçoit un observateur extérieur Lp = 2πRp avec Lp = kL et Rp = kR peut-être, ou Rp = k’R, et alors Lp # 2πRp, mais à vrai dire je m’en fous, je suis un voyou! https://m.youtube.com/watch?v=prdS6mw9s40
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