Re: Onde électronique.

Le 31/12/2023 à 23:56, JC_Lavau a écrit :

Le 31/12/2023 à 13:48, Richard Hachel  a écrit :

Le 31/12/2023 à 12:19, JC_Lavau a écrit :

Le 31/12/2023 à 11:42, Richard Hachel  a écrit :

 

 Bien sur que oui, les montres sont toujours partout.

 J'avais écrit trop vite. Ton affirmation portait sur l'émission et l'absorption de photon, implicitement dans des conditions d'astronomie. Rien de semblable pour Fizeau qui enregistrait un décalage sur les occultations par une roue à secteurs entraînée par un mouvement d'horlogerie. Donc cette foule de photons existait bien entre les émissions et les absorptions (plus lointaines).
Pas non plus de distance entre les "horloges". Nous ne sommes pas dans l'astronomie, mais dans une seule pièce de laboratoire. Actuellement au CNAM.
 Tu ne pratiques manifestement pas l'optique.

Disons que je la pratique différemment. Pour ce qui est de la distance entre les horloges, il est clair que, pour moi, le fait que les montres soient différentes et éloignées les unes des autres, va poser un énorme problème relativiste.  Non pas qu'elles auront une chronotropie dfférente (notion de la mesure du temps, il serait stupide de penser que des montres semblables, et sans aucune cause précise tournent à des vitesses différentes dans un même référentiel inertiel) mais elles auront forcément des notions propres de la nature de la simultanéité.  Chacune retardera sans cesse d'une valeur Et=x/c sur toute autre montre considérée du même référentiel.
 Mais tu le sais tout ça, je l'ai assez dit.  Comme tu sais très bien que si les montres sont en mouvement relatif un autre effet logique apparait, la relativité de la chronotropie réciproque.  Que l'on soit sur Pluton, ou au CNAM; cela n'a pas d'importance, la loi est universelle.  Cela vaut pour ton laboratoire.  Posons ici un émetteur de photon, et là, à 3 mètres un récepteur de photon.  On va alors placer une montre en A et une montre en B.
 Parfaitement synchronisée au même endroit, on place A à la source, et B au récepteur.
 A note le départ du photon, et note t_A= 00 nanosecondes.  La montre B note l'arrivée du photon sur le récepteur et note t_B= 10 nanosecondes.  C'est bien comme ça dans ton laboratoire? (si non, tu as un problème de méthodologie ou d'appareillage quelque part).
 La question a se poser est celle-ci : "Comment se fait-il que les deux montres ne s'accordent pas et ne marquent pas la même heure? On refait l'expérience, sur Pluton. Idem.  On découvre que monsieur Jean-Pierre Messager a fait débarquer dans le laboratoire de monsieur Jacques Lavau la police scientifique, pour pré-emption de matériel, et vérification d'expérimentations "truquées".  Mais ce n'est pas truqué.  Toujours toujours, toujours, on découvre qu'il existe entre les montres, une différence de temps entre le départ du photon, et l'arrivée su photon.  On pose Et= 10 nanosecondes (pour trois mètres).  A cela deux immense génies de l'histoire de l'humanité vont proposer une explication.  Le premier s'appelle Ole Christensen Rømer, le second s'appelle Richard Hachel.
 Il n'y a pas de troisième explication possible.  Là, l'immense imbécillité humaine va alors s'engouffrer dans la brèche et dire : "De deux explications, pour faire facile, il faut toujours prendre la première, et ne pas s'inquiéter de l'autre".  La connerie humaine et le choix de la facilité à l'état pur.  R.H.