Sujet : Re: Le problème de l'anisochronie relativiste.
De : pourquoi-pas (at) *nospam* tiscali.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 11. Feb 2024, 04:52:22
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Le 10/02/2024 à 23:13, Julien Arlandis a écrit :
Le 10/02/2024 à 22:09, Yanick Toutain a écrit :
T'as pas encore compris que les propos de Verret n'ont ni queue ni tête. Au moins toi tu dis des choses cohérentes, elles sont justes réfutées par la science depuis des siècles et c'est la raison pour laquelle je ne perds pas mon temps à en débattre avec toi.
Yanick est un coriace de la relativité newtonienne et de l'espace absolu. Je ne comprends pas ce comportement perdant-perdant qu'il a engagé avec lui-même, car il n'y gagne rien pour lui même (il ne se cultive pas et n'essaye pas de comprendre son monde), ni pour autrui (il enseigne quoi à qui?).
Double perte : interne et externe. Faisant cela, il pédale dans le vide cosmique. C'est d'autant dommage qu'il est parfois courageux sans ses recherches, et qu'il y passe un temps effroyable à réfléchir pour rien.
Comme quand il s'est mis en tête, il y a de très nombreuses années, de parler en vitesses apparentes (c'est à dire ce que l'on voit dans les télescopes). L'idée était géniale, il parlait de Walter parti dans une fusée, mais je me souviens plus de tout, mais il pratiquait en newtonien, et donc sur des bases fausses.
S'il m'avait écouté (c'est le problème de l'arrogance stupide du type moi, je suis Yanick=fort, lui il est Hachel=crétin), il aurait pu être utile à la réflexion concrète des choses car il avait la volonté de chercher et d'écrire. Il a malheureusement choisi une voie qui ne menait à rien. C'est comme ça.
Pour Richard Verret, il n'est pas 100% positif, évidemment, mais il n'est pas 100% négatif. Il accepte des choses que le crétin Python raille, sans même les comprendre.
Richard et Yanick, en m'obligeant parfois à répondre, favorisent aussi non pas ma pensée (elle est déjà rodée) mais la façon dont je dois m'exprimer pour être audible. Il ne faut donc pas les voir trop noirs, même si parfois, certaines de leurs incompréhensions sont pénibles. R.H.