Re: Le problème de l'anisochronie relativiste.

Le 12/02/2024 à 17:20, Richard Hachel  a écrit :

 On appelle grandeur propre, longueur propre, ou distance propre, ou longueur d'onde propre, ou temps propre, des mesures
faites dans le référentiel même des choses.
 Mais cela ne veut as dire que ce sont des phénomènes absolus.
 Placé dans un autre référentiel, ces mesures ne seront plus les mêmes.

Ben si!

 Elles ne seront plus [b]r é e  l l e m e n t [/b] les mêmes.

Ben si!

 Les deux mesurent un temps réel (le temps perçu par Stella est apparent, certes, mais mesuré avec ses horloges à elles qui sont aussi réelles que les celles de Terrence).
 Il n'y a donc ni temps absolu, ni distance absolue, ni rien.

Il y a des grandeurs propres qui sont les grandeurs réelles et des grandeurs impropres qui sont les grandeurs perçues (observées).
Il y a des vitesses réelles Vr et des vitesses observées Vo, il y a des longueurs réelles Lr et des longueurs observables Lo, il y a des temps réels et des durées observables (sous certaines conditions).

 On peut juste parler de phénomènes propres, c'est à dire mesurés dans le référentiel d'origine.

En fait, comme le temps est absolu, il n’y a que les longueurs (et les distances) qui varient. Au risque de me répéter, pour des référentiels en m.r.u. l’un par rapport à l’autre: y’ = y + y_e (donc b’ = b + b_e) et x’ = x, donc x’_k = x_k. La contraction apparente des dimensions d’un corps due à la vitesse, comme celle due à la distance, a lieu dans les trois dimensions. Les deux sont des effets de perspective..