Re: Le problème de l'anisochronie relativiste.

Le 16/02/2024 à 09:35, Julien Arlandis a écrit :

Le 16/02/2024 à 09:07, Richard Verret a écrit :

Le 16/02/2024 à 07:20, Julien Arlandis a écrit :

Tes grandeurs réelles que tu opposes aux grandeurs observables sont la source de confusions profondes qui bloquent toute compréhension des concepts de base de la cinématique. Quand tu écris :
"Vr = Lr/Tr. Lr et Tr sont valables pour tous les observateurs, donc la vitesse réelle Vr est valable pour tous les observateurs, ce serait une vitesse absolue."
Comme on a tenté en vain de te l'expliquer, la distance entre deux événements dépend du référentiel. Par exemple, le départ d'un corps mobile inertiel A et son arrivée en B définissent une longueur de trajectoire AB qui dépend du référentiel d'où sont évaluées les coordonnées de A et de B. Ceci est de la pure cinématique galiléenne dont tu as refusé d'étudier les transformations.

Merci pour ces précisions! Je me pose des questions sur cette vitesse réelle, elle ne peut pas être absolue.
AB dépend du référentiel en relativité einsteinienne, mais pas en relativité galiléenne.

 Faux. Les longueurs dépendent aussi du référentiel en relativité galiléenne. Tu confonds avec la contraction de Lorentz qui est un cas particulier quand A et B sont simultanés, et dans ce cas précis AB varie en fonction du référentiel uniquement dans le cadre de la relativité d'Einstein.
 

De même, le temps ne dépend pas du référentiel en relativité galiléenne, si bien que Vr est vraie pour tous les observateurs dans ce cadre.  Vous avez vu, par miracle je me suis inscrit sur Nemo. Cachez quand même votre joie!

 J'avais oublié que les inscriptions étaient ouvertes sans approbation.
Je tiens quand même à vous signaler que je vous engage à tenir compte des remarques qui vous sont adressées concernant vos lacunes sur la physique. La moindre sottise manifeste qui vous a déjà été corrigée et c'est le ban définitif, comme par exemple le fait d'affirmer que les longueurs sont indépendantes du référentiel en relativité galiléenne.

Il veut peut-être parler des longueurs propres (ce qui est vrai). Par contre les distances, il est évident qu'elles dépendent du référentiel.
Si je suis sur le bateau, mon boulet tombe verticalement, si je suis sur le quai, j'ai une trajectoire courbe et plus longue.
 R.H.