Re: Pythagorisme relativiste

Le 26/04/2024 à 17:12, Richard "Hachel" Lengrand a écrit :

Le 26/04/2024 à 15:01, Python a écrit :
 

Si les trajets sont égaux et si les temps impropres sont égaux, alors les temps propres seront égaux.

>
C'est fou que tu ne vois pas le problème rien qu'en écrivant cette
phrase.

 Il n'y a pas de problème en RRH, et s'il y en a un en RR, ce n'est pas de mon fait.

Je n'utilise en rien la RR pour réfuter ton affirmation.

Si l'on envoie deux fusées comme dans l'exemple cité, c'est à dire, évidemment avec un départ au repos pour la fusée accélérée, les temps propres seront égaux.
Pas le temps de Terrence!!!
 Le temps de Stella et Bella!!!

Oui, les seuls temps concernés. Tu réponds vraiment n'importe quoi
sans réfléchir !

- les trajets sont égaux (spatialement) : propriété qui dépend du
   référentiel dans lequel on considère les trajectoires, en particulier
   *faux* dans tout référentiel sauf un !

 Bof.
 La longueur du trajet (de Bella et de Stella) sera la même dans tous les référentiels, puisque le départ est au même endroit et l'arrivée au même endroit, les événements étant conjoints.
C'est tautologique.

N'importe quoi ! Même en Relativité Galiléenne les distances (chemins
dans l'espace) parcourus diffèrent selon dans quel référentiel on les
considère. Mais enfin, tu as bu ou quoi ?
Dans celui du voyageur inertiel la distance pour lui-même est de zéro,
et pas du tout la distance parcourue par l'autre !
Dans n'importe quel autre référentiel que celui de la Terre les
distances (chemins) parcourus ne sont pas du tout les mêmes !
Comment peux-tu proférer des absurdités pareilles ?!

Chaque référentiel aura sa distance personnelle, mais celle-ci ne pourra âtre qu'identique pour les deux soeurs.
 

- temps "impropres" égaux : propriété triviale puisqu'il n'y a que
   deux événements en cause, et donc un seul intervalle de temps (pour
   un référentiel donné) à comparer avec... lui-même !

 Le temps impropres est donné par définition dans l'exercice choisi.

La condition d'égalité est superflue puisqu'elle est toujours vraie.

On s'en tape du temps impropre, on le connait.

C'est TOI qui pose comme condition qu'il soit égal à... lui-même !
C'est MOI qui te dis qu'on s'en tape.

Ce qui pose problème, en realtivité, c'est le temps propre des particules ou des sujets.

- la conclusion de l'implication : temps propres égaux ; c'est un fait
   objectif indépendant de tout choix de référentiel, on compare deux
   horloges en un même lieu à un même instant

 ? ? ?
 Je rêve ou quoi?
Tu admets enfin que les temps propres de Stella et Bella vont être égaux?

Absolument pas. Je dis que l'égalité ou la non-égalité des temps propres
est un fait objectif indépendant du référentiel. En l'occurrence c'est
la non-égalité qui est vraie.
Comment arrives-tu à ajouter absurdités sur absurdités à ce point ?!