Re: La façon de dire les choses...

Le 29/05/2024 à 19:09, Python (le petit bouffon) a écrit :

Ouvre un livre de physique, suis un cours en ligne ! t, et donc Δt, sont
définis à partir d'un réseau d'horloges en repos relatif synchronisées
par la procédure d'Einstein-Poicaré.

 D'accord.  Il s'agit donc de To.
 Le temps observable, mesurable dans un référentiel donné, par une montre perpendiculaire placée idéalement à l'infini dans une quatrième dimension hypothétique, abstraite, mais fort utile en relativité restreinte.
 On appelle cela la synchronisation d'Einstein-Poincaré, utile, mais abstraite, et permettant d'oublier
le problème de l'anisochronie spatiale et le fait évident qu'il est absolument impossible d'accorder deux montres dans l'univers, ni localement (anisochronie), ni cinétiquement (dyschronotropie).
 Localement, chaque montre avancera toujours sur l'autre selon Δt=AB/c, et si on en règle une sur l'autre, l'autre va se mettre à avancer de Δt=2AB/c sur la première.  Cinétiquement, par dyschronotropie : To=Tr/sqrt(1-Vo²/c2)

Dans le théorème de Pythagore les trois quantités impliquées sont
toujours positives, pas ici. Il y a bien une analogie à faire,
que François et moi avons expliqué ici, mais je doute que tu
l'ai même lue.
 Ici Δs^2 peut être négatif.

 Mais pourquoi s'embêter avec une notion négative quand la façon positive de dire les choses conduit à plus simple, et, surtout, à plus vrai.
 Le reste n'est que preuve expérimentale à fournir.
 J'ai toujours pensé (c'est mon aspect religieux) que le beau était la splendeur du vrai.
 La beauté et la précision des mathématiques perd tout son intérêt si on les applique à une physique abstraite.  Ce sont les physiciens, qui, employant des outils débiles, que les mathématiciens ne leur ont pas donnés (le mathématicien Poincaré a donné les bon outils, Minkowski les a pourri en les mécomprenant)
ont foutu la merde, et se plaignent aujourd'hui de ne plus rien y comprendre.
 Ils le disent eux mêmes "Celui qui comprend la théorie est un menteur".  Plus cons que ça, tu meurs. R.H.