Le 30/08/2024 à 15:24, Python a écrit :
Tu te conduis comme un joueur, aux échecs, qui se mettrait à déplacer
son cavalier en diagonale et prétendrait gagner ainsi la partie.
J'en arrive à me demander, si des fois, tu croirais pas ce que tu dis.
Tu n'as toujours pas compris une chose, et tu n'es pas le seul.
La notion d'anisochronie universelle et la relativité de l'hyperplan de simultanéité personnelle.
Ce qui est très étrange, c'est que les physiciens, lorsque je les enseigne, lorsqu'ils ont affaire à mon immense intelligence, et qu'ils reconnaissent le puit de science et le luminaire céleste que je suis,
ils admettent sans aucun problème ma notion de dilatation des chronotropies. C'est pourtant un phénomène BIEN PLUS COMPLEXE, qui va aboutir à un effet du second degré. Mais tous ils le comprennent (sauf Yannick Toutain, Richard Verret, et quelques newtoniens fanatiques). Pourtant, et ce fut probablement la grande déception de ma vie relativiste (j'ai pas fait que ça),
l'anisochronie universelle, ils ne la comprennent et ceux qui semblent la comprendre quelques minutes, la rejettent vite en disant, j'y crois pas. Non, non, je ne truque pas les pièces, par contre, Jacques et moi avons déjà remarqué qu'il t'arrivait d'avoir des gestes bizarres sur l'échiquier. Mais parlons peu, parlons bien. Tu parles de synchronisation, et je t'ai déjà dit cent fois qu'on ne pouvait synchroniser quelque chose que sur UN point. C'est LUI qui donne la synchronisation, et chaque point est unique. Chacun (même toi qui est bête à manger du foin) se créée son propre hyperplan de simultanéité, son propre plan de temps présent. Il faut donc OBLIGATOIREMENT un point de fixation pour savoir de QUOI l'on parle.
Einstein n'en parle pas : il pose d'emblée l'une des conneries les plus importantes de la physique moderne (il n'a que 27 ans, et il est encore un peu crétin), tA(e3)-tA(e2)=tA(e2)-tA(e1)
MAIS il ne dit pas POUR QUI.
Supposément c'est pour tout le référentiel. Or, c'est FAUX.
IL FAUT préciser QUI met les montres en marche et dans quel hyperplan de simultanéité on se trouve.
Lorsque tu synchronises deux montres au même endroit, et que tu les écartes, elle restent synchronisées sur CET endroit. Si tu les mets en O, elles resteront synchronisées sur O, elles vont persister synchrones dans l'hyperplan de simultanéité de O.
Mais entre elles, elles seront désynchronisées. Ce que Paul B. Andersen, ne comprend pas, c'est que la montre sur la lune et la montre sur la terre,
(j'ai écarté lentement la montre B vers la lune), ne sont PLUS synchronisées entre elles. Il affirme clairement "elle le sont encore". Il ne comprend pas le direct-live. Il s'y noit. Il ne comprend pas la logique la beauté et la clarté du raisonnement, et toutes les preuves expérimentales qui vont affluer mais qu'on ne comprends pas. Ce n'est pas qu'elles sont synchronisées, mais qu'il faut prendre en compte la course des petits photons, ça c'est une pensée qui devrait être archaïque si l'on avait compris cela il y a 120 ans. C'est que je vois les DEUX montres en direct-live, mais que le présent de là-bas, et désynchronisé par rapport au mien. Tu vois la différence?
Pour synchroniser tes deux montres A et B, il faut les synchroniser sur quelque chose, sur un hyperplan de temps présent donné, c'est à dire rien de moins qu'UN SEUL POINT. Tout le reste n'est que désynchronisations personnelles. Le temps universel, j'ai expliqué ce que c'était.
C'est une procédure de synchronisation type Einstein, SUR un seul point M abstrait, imaginaire, mais utile.
Le reste, c'est du blabla et des incompréhensions qui se pensent intelligentes.
Le plan absolu du temps présent, c'est du pur pipeau.
Romeo et Juliette, chacun sur leur banc on leur hyperplan de temps présent.
Personnel.
R.H. R.H.