Le danger se rapproche de nous à grande vitesse »

Et pendant que certains ferment les yeux sur la réalité de la situation à savoir que depuis 20 ans Poutine livre une guerre farouche à l'occident. D'abord à travers d'une nouvelle forme de guerre appelée hybride que personne n'a vu venir, consistant à infecter les esprits les plus faibles et les plus propices à se soumettre aux plus forts, en les manipulant de telle manière que sous couvert d'une idéologie inventée pour la circonstance, ils servent les intérêts de leur principal ennemi, celui qui veut les asservir.
En Europe ce sont les nationalistes qui ont été utilisés à occuper ce rôle, à savoir de déstabiliser l'UE par l'intérieur.
Et ça fait quand même 20 ans que ces crétins ne se rendent pas compte que leur doctrine n'existe et ne s'est étendue que parce qu'un dictateur étranger l'a promue pour servir ses seuls intérêts.
Les nationalistes européens ressemblent à ces esclaves qui donnent à leur maître le bâton pour qu'il les frappent. Ils le fabriquent eux-même, tant ils sont contents de recevoir des coups.
D'ailleurs ils refoulent tout maître qui ne les frapperait pas.
Faut dire à leur décharge qu'ils traînent derrière eux, 2 000 ans d'histoire qui en on fait de gentils petits larbins dociles et ils sont ultra motivés pour défendre cette culture de valets serviles.
C'est leur passé, c'est donc aussi leur destin.
C'est leur histoire, c'est donc aussi leur avenir.
Larbins ils étaient, larbins ils sont, larbins ils resteront !
« Le danger se rapproche de nous à grande vitesse » et l’Europe ne prend toujours pas la mesure des menaces posées par la Russie pour sa sécurité. Deux ans et demi après le déclenchement de l’invasion russe de l’Ukraine, le secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), Mark Rutte, a exhorté, jeudi 12 décembre, les Européens à un véritable sursaut pour renforcer leur défense collective.
« Ce qu’il se passe en Ukraine peut aussi se produire ici », a dramatisé l’ancien premier ministre néerlandais, dans son discours, prononcé dans le cadre d’une conférence organisée par le groupe de réflexion Carnegie Europe. S’adressant aussi bien aux dirigeants politiques qu’aux citoyens du Vieux Continent, M. Rutte a appelé à « passer à un état d’esprit de temps de guerre et à donner un coup de fouet à notre production et à nos dépenses en matière de défense ».
Selon lui, « la Russie se prépare à une confrontation à long terme. Avec l’Ukraine et avec nous ». Cette mise en garde fait écho à ce que soutient, depuis son entrée en fonctions, le 1er décembre, le nouveau commissaire européen à la défense, Andrius Kubilius, qui déclare au Monde : « Nous devons nous préparer au pire, c’est-à-dire à une possible agression militaire » de la Russie. Et, pour cela, ajoute-t-il, « il faut augmenter non plus de manière progressive nos budgets de défense, comme aujourd’hui, mais de manière décisive, pour provoquer un véritable big bang des dépenses ».
Alors que la Russie consacre désormais de 7 % à 8 % de son produit intérieur brut (PIB) à produire des armes, des chars et autres munitions, les deux dirigeants appellent les Etats européens à dépasser largement la cible de 2 % de PIB de dépense pour leur défense, que les alliés s’étaient fixé en 2014. « Je peux vous dire que nous aurons besoin de bien plus que 2 % », a assuré, jeudi, Mark Rutte, qui précise : « Ce n’est pas pour faire plaisir à Donald Trump [le président élu des Etats-Unis, qui réclame que les Européens dépensent plus], mais parce que nous devons le faire pour mieux nous protéger. »