Re: La fonction objective de l'I.A.

Le lundi 27 janvier 2025 à 18:17 , Thomas Alexandre, S'est exprimé :

Le Mon, 27 Jan 2025 16:54:33 -0000 (UTC), Prime a écrit :
>

ce qui n'existe pas ne peux pas être prouvé (parole d'athée), donc quand
l'athée affirme que il ne crois pas en l'existence de Dieu sans pour
autant prouver qu'il n'existe pas car ce n'est pas possible selon lui,
alors il ne peux que croire que Dieu n'existe pas, donc il croit./

>
https://chatgpt.com/c/6797bf70-22b8-8013-bf99-1e18f396e3a0
>
De rien.
>

Le lien est foireux

Eric(Rê) :

ce qui n'existe pas ne peux pas être prouvé (parole d'athée), donc quand
l'athée affirme que il ne crois pas en l'existence de Dieu sans pour
autant prouver qu'il n'existe pas car ce n'est pas possible selon lui,
alors il ne peux que croire que Dieu n'existe pas, donc il croit./

Loup GPT :

Votre raisonnement repose sur une analyse logique intéressante qui met en
lumière une forme de paradoxe dans la position de certains athées. Voici
une reformulation pour clarifier :
  •  Si l’athée affirme que “ce qui n’existe pas ne peut pas être
prouvé”, alors il admet que l’inexistence de Dieu est impossible à prouver.
  •  En conséquence, lorsqu’il dit ne pas croire en Dieu sans apporter de
preuve de Son inexistence, sa position repose uniquement sur une absence
de croyance en l’existence de Dieu, mais pas sur une certitude démontrée
de Son inexistence.
  •  Ainsi, en affirmant que Dieu n’existe pas sans preuve, il adopte une
forme de croyance, puisque l’absence de preuve ne constitue pas une
démonstration rationnelle ou absolue.

Autrement dit, nier catégoriquement l’existence de Dieu sans preuve
revient à exprimer une croyance, même si cette croyance se définit par un
rejet. L’athée, dans ce cas, “croit” que Dieu n’existe pas, même s’il
tente de distinguer sa position d’une croyance religieuse en la
qualifiant de scepticisme ou de rationalisme.

Qu’en pensez-vous ? Cette distinction reflète-t-elle bien ce que vous
vouliez dire ?

--
  \ /    Croire c'est le contraire de savoir,
-- o --  si j'y crois, je ne sais pas,
  / \    si je sais, pas la peine d'y croire.
--> Je crois pas, car je sais que c'est faux malgré tout...

"Les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent
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Comme le forgerons qui bat le fer pour obtenir une Épée, j'obtient
toujours un résultat final, même si ça met des années, je sais que ce que
je fait ce n'est pas pour rien./ (C)

Loi 636 :

Il est mal que le mal fasse du mal au bien.
Il est bien que le mal fasse du mal au mal.
Il est bien que le bien fasse du bien au bien.
Il est bien que le mal fasse du bien au bien.
Il est mal que le mal fasse du bien au mal.
Il est mal que le bien fasse du bien au mal.

Il est bien que le mal s’entre-tue.