Sujet : Re: Escroquerie à l'échelle planétaire
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (PaulAubrin)
Groupes : fr.sci.zetetiqueDate : 27. Aug 2022, 11:50:50
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Le 27/08/2022 à 11:14, robby a écrit :
on peut questionner l'infirmité collective qui avait contraint les autres chercheurs non seulement à ne rien trouver du tout, à demeurer figés dans des errements tribaux (datant de 1925-1927 pour ceux propagandés par la tribu göttingen-Köbenhavn,
quel rapport avec le réchauffement climatique ?
Le spécialiste est un monsieur qui sait beaucoup de choses sur peu de chose et à la limite tout sur rien du tout, tandis que les synthèses transdisciplinaires sont faites par des hommes de synthèse.
et bien sûr, tu es le seul sur Terre a avoir les compétences requises, le reste du monde ayant une vision trop étroite.
Ce qui gène dans le réchauffement (dérèglement) climatique est qu'il faut croire les milliers de scientifiques du GIEC, ou plus tôt qu'il faut croire sur parole les résolutions présentées par une poignée de rédacteurs principaux parce qu'ils les ont fait voter par des délégués de leur gouvernement (euh... par les experts du GIEC).
Il faut les croire sur parole alors qu'un certain nombre de détails clochent et qu'en dépit qu'ils clochent. Pourtant, en l'absence d'éléments nouveaux, et sur l'avis des "experts", les délégués gouvernementaux votent qu'ils sont de plus en plus sûrs d'un certain nombre de conclusions pour lesquels les "preuves" sont constituées uniquement par des simulations informatiques par ailleurs prouvées fausses.
Cette conception de la méthode scientifique n'est pas du tout celle à laquelle on m'avait habitué pendant mes études. Jamais je n'ai entendu un professeur demander qu'on le croie sur parole, et tous disaient que ce n'est pas parce que quelque chose sort d'un ordinateur qu'il faut le croire sans réserve non plus, au contraire...
Les milliers de pages des rapports du GIEC reposent sur "l'argument d'attribution" qui repose sur premièrement des sorties d'ordinateurs (prouvées sans rapport avec les observations) et sur des avis d'experts.