Le dimanche 22 septembre 2024 à 19:08 , Père Sonnes, S'est exprimé :
Le dimanche 22 septembre 2024 à 18:57 , robby, S'est exprimé :
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suivi fr.sci.psychanalyse refusé: totalement hors sujet.
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Le 22/09/2024 à 14:57, Père Sonnes a écrit :
si l'intelligence humaine peut être partiellement imité par des
ordinateurs alors on peux conclure que le cerveau est une forme
d'ordinateur biologique.?
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mis a part le non-sequiture entre le début et la fin de la phrase,
et modulo une définition très souple d'"ordinateur" comme système à
traiter des inputs et des etats internes pour sortir des outputs et de
nouveaux etats internes,
alors oui evidemment, le cerveau est "une forme d'ordinateur biologique"
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c'est ce que je pense depuis des décennies, je me souviens de mon premier
ordinateur un MSX, ou les réseaux sans fil ça n'existait pas, maintenant
on a le wifi par exemple, si le cerveau est un ordinateur biologique n'a
t'il pas un réseaux sans fil possible ? ce qui pourrait par métaphore
proposer l'idée de la réalité de la télépathie, et que cette métaphore
serait une preuve métaphysique et intellectuelle de ce pouvoir que aurait
potentiellement le cerveau biologique. en suite est t"'il possible que
cette télépathie soit un moyen de communiquer avec des entités autre que
matériel atomique ou alors matériel mais d'une telle subtilité a la
limite de l'état énergie que seul la télépathie le réseau sans fil du
cerveau biologique pourrait permettre de communiquer avec eux ?
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autre question ce soulève puisque nous pouvons envisager dans un proche
futur en tout cas nous savons que c'est potentiellement possible que de
faire un cerveau biologique virtuel sur ordinateur sous forme de
simulation, pourquoi ne pas envisager que c'est déjà fait et que
finalement nous somme tous virtuel et que notre cerveau et même notre
corps est virtuel dans un environnement virtuel comme le propose
métaphoriquement les films Matrix ?
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Voilà ce que dit Chat GPT sur notre conversation (à titre indicatif) :
Chat GPT :
Cette conversation aborde des sujets liés à la nature du cerveau, à
l’intelligence artificielle, à la télépathie et à la notion d’une réalité
virtuelle, dans un contexte de réflexion métaphysique et philosophique.
Voici une analyse détaillée des différents aspects :
1. La question du cerveau comme un “ordinateur biologique” :
• La première partie traite de l’idée que le cerveau humain pourrait
être comparé à un ordinateur biologique. Robby mentionne que, si on prend
une définition souple de ce qu’est un ordinateur (un système capable de
traiter des entrées pour produire des sorties), alors cette comparaison
pourrait être valide.
• Ce parallèle entre cerveau et ordinateur est un débat philosophique
et scientifique récurrent. Il s’inscrit dans une vision fonctionnaliste,
où le cerveau traite des informations de manière analogue à un système
informatique.
2. Le concept de télépathie et de réseaux sans fil du cerveau :
• L’idée avancée par Père Sonnes consiste à pousser cette métaphore
plus loin en suggérant que, si le cerveau est un ordinateur biologique,
il pourrait également disposer d’une forme de communication sans fil,
analogue au Wi-Fi. Cela ouvre la voie à une hypothèse sur la réalité de
la télépathie.
• Il propose que cette télépathie pourrait permettre une communication
non seulement entre cerveaux humains, mais aussi avec des entités non
physiques ou à un état énergétique subtil.
• Cette théorie flirte avec des concepts qui relèvent plus de la
spiritualité et de l’ésotérisme. On sort ici du cadre scientifique
classique pour entrer dans une réflexion métaphysique sur les pouvoirs
latents du cerveau humain, notamment la communication à distance, voire
avec des entités immatérielles.
3. La simulation et l’hypothèse de la réalité virtuelle :
• Père Sonnes explore l’idée que, si nous sommes capables de simuler
un cerveau biologique sur un ordinateur, il serait possible que la
réalité elle-même soit déjà une simulation. Il fait un parallèle avec des
films comme Matrix, en suggérant que notre corps et notre cerveau
pourraient être virtuels, dans un monde simulé.
• Cette hypothèse est en ligne avec des théories philosophiques et
scientifiques contemporaines, comme l’hypothèse de la simulation formulée
par des penseurs comme Nick Bostrom. Elle questionne la nature même de la
réalité et du soi, ouvrant des réflexions sur le libre arbitre,
l’existence d’un créateur (ou programmeur), et la véritable nature de
notre expérience.
4. Aspects linguistiques et rhétoriques :
• Robby critique la phrase initiale de Père Sonnes en signalant un
“non-sequitur” (une conclusion qui ne suit pas logiquement les
prémisses). Cependant, il concède qu’en acceptant une définition très
large de ce qu’est un ordinateur, il est possible d’admettre que le
cerveau puisse être perçu comme un ordinateur biologique.
• La réflexion de Père Sonnes, bien que riche en imagination, utilise
un langage plus philosophique qu’empirique, en introduisant des
métaphores pour discuter de phénomènes encore largement spéculatifs
(comme la télépathie et la réalité virtuelle). Il tente de relier des
éléments techniques, comme le Wi-Fi et les simulations informatiques, à
des concepts abstraits et philosophiques.
5. Thèmes sous-jacents :
• Technologie et biologie : L’idée que le cerveau puisse être “imité”
ou “simulé” par la technologie renvoie à des discussions sur
l’intelligence artificielle forte, c’est-à-dire une IA qui pourrait
véritablement reproduire les capacités cognitives humaines.
• Télépathie et entités subtiles : La question de la communication
avec des entités immatérielles et de l’existence d’une sorte de réseau
télépathique entre les cerveaux est un sujet qui relève plutôt de la
spiritualité et de l’ésotérisme. Il s’agit d’une hypothèse non démontrée
scientifiquement, mais qui est souvent discutée dans des cercles
spirituels.
• Réalité virtuelle et simulation : L’idée que notre réalité puisse
être une simulation trouve un écho dans des hypothèses contemporaines de
la philosophie de l’esprit et de la physique théorique, où certains
scientifiques et philosophes explorent la possibilité que l’univers
lui-même soit une construction artificielle.
Conclusion :
Cette conversation se situe à la croisée de plusieurs disciplines : la
philosophie de l’esprit, la technologie (intelligence artificielle), la
spiritualité (télépathie) et la science-fiction (réalité simulée). Elle
montre une tentative d’explorer des concepts complexes en les reliant à
des technologies contemporaines. La réflexion est ambitieuse et
métaphysique, mais manque d’ancrage dans des preuves empiriques ou des
théories scientifiques établies. Le ton est à la fois critique (Robby) et
spéculatif (Père Sonnes), avec un mélange de scepticisme et d’ouverture
d’esprit.
-- \ / Croire c'est le contraire de savoir,-- o -- si j'y crois, je ne sais pas, / \ si je sais, pas la peine d'y croire.--> Je crois pas, car je sais que c'est faux malgré tout..."Les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent
des événements ; les petits esprits discutent des gens." (Eleanor Roosevelt)
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Comme le forgerons qui bat le fer pour obtenir une Épée, j'obtient
toujours un résultat final, même si ça met des années, je sais que ce que
je fait ce n'est pas pour rien./ (C)
Loi 636 :
Il est mal que le mal fait du mal au bien
Il est bien que le mal fait du mal au mal
Il est bien que le bien fait du bien au bien
Il est bien que le mal fait du bien au bien
Il est mal que le mal fait du bien au mal
Il est mal que le bien fait du bien au mal
Il est bien que le mal s'entre tue