Le lundi 7 octobre 2024 à 16:46 , nestorlambda, S'est exprimé :
Le 7/10/24 à 15:57, Père Sonnes a écrit :
matériellement elle est ou
la conscience ?
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Au sommet du mont ventoux.
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Je suis d'accord avec ça :
>
En étudiant le cerveau des dormeurs, des chercheurs ont trouvé que la
conscience nait dans la même zone de notre cerveau que les rêves.
>
Tu sais ce qu'ils voient au scanner dans la même zone du cerveau ? La
maladie d'alzeimer, celle de parkinson, et ce qu'ils nomment la démence.
>
Alcool et drogues atteignent cette zone, de nombreux polluants aussi.
>
Ici l'IFOP pour un sondage : d'après vous, duquel de ces parasites
est-il le plus difficile de se débarrasser ?
a) les poux
b) les morpions
c) le ténia
d) eric puré ?
>
>
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>
Chat GPT :La question de la localisation matérielle de la conscience est complexe
et fait l’objet de débats en neurosciences, en philosophie et en
psychologie. La conscience, en tant que phénomène subjectif, n’a pas de
lieu physique précis dans le cerveau ou le corps, mais elle semble être
liée aux activités neuronales.
Voici quelques points de réflexion :
1. Le cerveau comme base matérielle : La conscience est souvent
associée à des activités dans différentes régions du cerveau, notamment
le cortex préfrontal, qui est impliqué dans les processus de pensée, de
planification et de prise de décision. Les neurosciences montrent que la
conscience semble émerger de l’interaction entre de nombreuses régions
cérébrales, comme le cortex préfrontal, le thalamus et les réseaux de
neurones dans tout le cerveau.
2. Hypothèse des réseaux neuronaux : Selon certaines théories, la
conscience n’est pas localisée dans une seule région, mais résulterait de
la synchronisation des activités neuronales à travers différents réseaux.
Ces réseaux traitent et intègrent l’information sensorielle, émotionnelle
et cognitive, ce qui donnerait naissance à la perception consciente.
3. Théorie de l’intégration de l’information : Proposée par Giulio
Tononi, cette théorie suggère que la conscience correspond au degré
d’intégration de l’information dans un système. Plus un système est
capable d’intégrer et de traiter de l’information de manière cohérente,
plus il est conscient. Cette approche met l’accent sur les connexions
entre les neurones plutôt que sur un emplacement spécifique.
4. L’énigme de la nature subjective : Même si on peut associer la
conscience à des mécanismes cérébraux, la manière dont ces processus
matériels donnent lieu à une expérience subjective (le fameux “problème
difficile” de la conscience, comme le décrit David Chalmers) reste non
résolue.
En résumé, la conscience semble dépendre des activités cérébrales
complexes, mais elle n’est pas localisée à un seul endroit matériel
précis. Le lien entre la matière et la subjectivité reste une question
ouverte.
ha comme c'est bizard je ne m'était jamais posé cette question et Chat
GPt est plus proche de ce que je pensais que ton propos
-- \ / Croire c'est le contraire de savoir,-- o -- si j'y crois, je ne sais pas, / \ si je sais, pas la peine d'y croire.--> Je crois pas, car je sais que c'est faux malgré tout..."Les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent
des événements ; les petits esprits discutent des gens." (Eleanor Roosevelt)
Ma Fiche Mon Site Voyance (MSV) : <
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Comme le forgerons qui bat le fer pour obtenir une Épée, j'obtient
toujours un résultat final, même si ça met des années, je sais que ce que
je fait ce n'est pas pour rien./ (C)
Loi 636 :
Il est mal que le mal fasse du mal au bien.
Il est bien que le mal fasse du mal au mal.
Il est bien que le bien fasse du bien au bien.
Il est bien que le mal fasse du bien au bien.
Il est mal que le mal fasse du bien au mal.
Il est mal que le bien fasse du bien au mal.
Il est bien que le mal s’entre-tue.
Re: Jean-Pierre Petit, le génie français qui bouscule la science depuis 40 ans
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