Re: L'avenir de l'hydrogène

Paul Aubrin a exprimé avec précision :

Le 29/06/2025 à 11:44, Olivier@ a écrit :

L'épisode caniculaire actuel, fait sortir de leur trou, tous les rats malthusiens, qu'on n'entend pas ordinairement, quand la météo locale les déçoit, et qu'ils n'ont pas à leur disposition un  aléa climatique en Ouzbekistan, ou ailleurs.
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Nos "écologistes", presque tous urbains, dictant leurs consignes aux ruraux, depuis leurs ilots de béton et de bitume.
C'est juste un mauvais moment à passer.
La population elle, même soumis à cet intense bourrage de crâne, sait qu'elle à 50% de chance de souffrir d'un cancer, d'une maladie Cardio- vasculaire ou "auto-immune, certains veinards des trois, se soucie peu du risque de devoir renouveler totalement sa garde robe dans 20 ans.

 Vraiment merci d'être passé.

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En France, il tombe en moyenne 800 mm de précipitations (pluie, neige, grêle...) de précipitations par an (31557600 secondes), soit 800 kg. La chaleur de vaporisation e l'eau est de 2 257 kJ/kg. Le cycle de l'eau refroidit donc la surface du sol d'environ 57 W/m² (1805600000/31557600). Si l'on draine immédiatement cette eau, comme on le fait dans les villes on se prive de 57W/m² de climatisation naturelle, Joules devront être évacués autrement (avec une augmentation locale de la température).
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Il est donc normal que les thermomètres en ville chauffent plus que ceux des champs. Cela a d'ailleurs été observé et publié. Cela vient en sus du lent réchauffement historique (Leroy-Ladurie, 1967) que l'on observe depuis trois siècles.

GIEC "Le climat se réchauffe rapidement. Au cours des deux derniers millions d’années, le climat de la Terre a oscillé entre des périodes interglaciaires relativement chaudes et des périodes glaciaires plus froides, pendant lesquelles des calottes glaciaires recouvraient de vastes zones des continents de l’hémisphère Nord. Les intervalles de  réchauffement rapide ont coïncidé avec l’effondrement de ces calottes glaciaires, préludant à des périodes  interglaciaires comme la période holocène actuelle, qui a débuté il y a environ 12 000 ans. Pendant la transition entre la dernière période glaciaire et la période interglaciaire actuelle, la température a augmenté d’environ 5°C au total. Ce changement a pris environ 5 000 ans, le taux de réchauffement maximum atteignant environ 1,5 °C par millénaire, même si la transition n’a pas été régulière. En revanche, la surface de la Terre s’est réchauffée d’environ 1,1 °C depuis 1850-1900.
Cependant, même la meilleure reconstruction de la température à la surface du globe pendant la dernière déglaciation est d’une résolution trop faible pour qu’une comparaison directe soit possible avec une période aussi courte que les 150 dernières années. Mais on dispose pour les 2 000 dernières années de relevés à plus haute résolution qui montrent que le *taux de réchauffement* de la planète a été *plus élevé ces 50 dernières années* *qu’au cours de toute autre période de 50 ans*."

Enfin, depuis une trentaine d'années, est venu s'ajouter un biais de mesure causé par le remplacement des thermomètres à colonne de liquide min/max relevés une fois par jour. Par des sondes résistives relevées fréquemment (toutes les minutes ?). Elles enregistrent des fluctuations à court terme de l'ordre de ±2°C

Dans les deux sens. La moyenne est la même. Déjà discuté.

que ne captaient pas les thermomètres LIG.

Ça ne change rien.