Re: 40 ème degré

Dans son message précédent, roaringriri a écrit :

Le 30/06/2025 à 11:20, P Cormoran a écrit :

Paul Aubrin a utilisé son clavier pour écrire :

Le 30/06/2025 à 09:23, P Cormoran a écrit :

- Le dérèglement climatique n’existe pas.

Il n'y a pas de règlement climatique.
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- La canicule de ce mois de juin est tout à fait habituelle.

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Elle n'est pas fréquente, mais il y en a eu auparavant de tout à fait semblables. Exemple :
"Du 29 mai au 4 juin 1947 : à encore trois semaine de l’été, les températures atteignent des niveaux assez étonnants - il fait 33° à Paris et Angers, 34° à Reims et Angoulême, et même 35° à Biarritz - cette vague de chaleur n’est qu’un avant-goût de ce que sera
l’été 1947 : l’un des plus chaud jamais enregistrés en France.
Du 24 au 29 juin 1947 : la chaleur devient vraiment torride et les 35° sont souvent dépassés - on atteint par exemple 38° à Paris, Bordeaux et Reims, et 40° à l’ombre à Auxerre."
Chroniques de météo-Paris (avec images tirées de coupures de journaux).
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Ou encore :
“printemps 1540: printemps très chaud et extrêmement sec
été 1540: été brûlant et sec à l’extrême, vendanges très précoces sécheresse, « été du siècle », Rhin franchissable à pied sec ; vin extrêmement chargé de sucre. La « chaude année ». Anticyclone bloquant dominant toute l’Europe occidentale. Mois de juin très chaud tout du long
Automne 1540: septembre et octobre chaud et sec”
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- Les couleurs rouges vives sur les cartes météo ne sont qu’un prétexte pour faire peur au peuple.

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Vous faire peur pour vous faire les poches et vous asservir.

 Citer une année extrême au XVIe siècle ne prouve rien : le climat a toujours eu des anomalies ponctuelles. Le réchauffement actuel, lui, est global, rapide, et documenté par des milliers de relevés. Confondre météo exceptionnelle et tendance climatique, c’est fuir les faits.

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Pure foutaise.
Mais dans le monde du mensonge concerté, il faut en choisir une pour pouvoir se sentir membre de quelque chose.

Refuser les faits établis n’est pas de la lucidité, c’est du confort. Le réel ne devient pas faux parce qu’on le rejette. Choisir la science, ce n’est pas “appartenir à un camp”, c’est préférer l’observation rigoureuse aux certitudes criées plus fort que les données.