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Le 02/08/2024 à 08:55, Canta Galet a écrit :Merci de ne pas user d'arguments d'autorité qui ne démontrent rien sinon l'incapacité de l'auteur à fournir des éléments objectifs et crédibles.Nikolov et Zeller ont perçu un problème qui n’était pas réellement là, une divergence qu’ils croyaient présente dans les modèles standards de réchauffement atmosphérique.Non :
anormal dans un des graphiques du chapitre 7 de l'AR6 (WG1).Le problème c'est que ce qui leur est apparu comme anormal est en réalité uniquement anormal poour eux.
vue, une des composante du bilan énergétique de la terre avait été inversée.Une seule vue ne peut suffire.
avait été malencontreusement multiplié par -1 dans le référentiel de données du chapitre en question. Ils l'ont donc signalé à l'auteur principal qui lui a confirmé l'inversion.Une vérification ? Laquelle ?
Il se trouve que la composante affectée est liée à la couverture nuageuse qui joue un rôle important dans les flux énergétiques aussi bien entrants que sortants de l'atmosphère.Oui mais il se trouve que la composante affectée était désaffectée.
NB : Les modèles climatiques CMIP ont beaucoup de mal a estimer l'évolution de la couverture nuageuse.De même que ceux qui croiens trouver des anomalies dans les modèles ont du mal à accepter que ces anomalies sont le fruit de leurs erreurs et non pas celles de autres.
de cumulus provoque une réduction en dizaines de W/m² du flux IR sortant, soit 300 fois plus que l'augmentation de 350 à 420 ppm du CO2 depuis les années 1960. L'effet des variations de concentration de CO2 est potentiellement noyé dans le bruit de la variation de la couverture nuageuse.Le niveau le plus élevé de l'histoire
https://www.cjoint.com/data/NHchIRxTBog_Modtran-Cumulus.png
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