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Le GIEC, rappelons le une nouvelle fois est un création, de Thatcher et Reagan,Pour rappel, il a été créé en 1988 par l'ONU et l'Organisation météorologique mondiale, pas directement par Thatcher ou Reagan.
C'est un simple bidouillage statistique, consistant à compiler des mesures de températures ponctuelles, et de les comparer à celles, réelles ou supposées, au même endroit, il y des années, quand les points de mesure, étaient à la campagne, alors qu'ils sont pour l'essentiel désormais dans des agglomérations.Sauf que les données climatiques ne se limitent pas à des mesures ponctuelles. Elles incluent des relevés de stations météorologiques, corrigés pour tenir compte de l'urbanisation (effet d'îlot de chaleur), des données satellites, des carottes de glace, et d'autres proxies.
On émet ensuite des hypothèses farfelues pour la suite, et on laisse ensuite les zélotes, se saisir des plus grotesques, pour disserter sur le rapport entre cette farce "scientifique", et le temps qu'il fait.Les projections du GIEC s'appuient sur des scénarios probabilistes, pas sur des certitudes. Les événements extrêmes (sécheresses, inondations, incendies) sont étudiés avec des modèles statistiques qui montrent une augmentation de leur fréquence ou intensité dans certaines régions, liée au réchauffement.
Le plus mignon étant le nombre d'incendies, qu'on sait causés à 80% minimum par des erreurs humaines, et dont on distingue, une augmentation d'"au moins 20%", sur un siècle, alors que la population elle a été multipliée par 4, ce qui "scientifiquement", veut dire qu'ils ont beaucoup diminués, en nombre et en surface.Effectivement, les incendies ont des causes multiples (humaines, naturelles), mais les conditions climatiques (sécheresses, vagues de chaleur) amplifient leur impact, selon des études récentes.
Quant aux "solutions" proposées et soutenues par les "écologistes", elles sont pour l'essentiel ridicules ou contre productives, mais toutes business compatibles.Vous avez raison sur le fait que certaines solutions peuvent être critiquées pour leur inefficacité ou leur coût. Cependant, des approches comme la transition énergétique, l'efficacité énergétique ou la reforestation sont évaluées pour leur impact réel. Le débat sur leur "compatibilité business" est légitime, mais rejeter l'ensemble des efforts cela revient à ignorer les avancées technologiques et économiques dans les énergies renouvelables, par exemple.
Et que reste-t-il de cette gigantesque expérience de Millgramm ?Comparer le discours climatique à une expérience de conformisme social est une critique intéressante, mais n'est-ce pas un moyen de simplifier un problème complexe ? Le consensus scientifique sur le réchauffement anthropique repose sur des données, pas sur un suivisme aveugle. Cela n'exclut pas des biais ou des exagérations dans certains discours médiatiques ou militants, dans un sens comme dans l'autre.
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