Quatrième lettre de l'association Clintel au secrétaire général de l'ONU

Amsterdam, le 23 juin 2023
Professeur A.J. (Guus) Berkhout
office@clintel.org
António Guterres, Secrétaire général des Nations unies,
Siège des Nations unies,
New York, NY 10017, États-Unis d'Amérique.
Cher Monsieur Guterres,
Le 23 septembre 2019, nous vous avons envoyé une lettre recommandée, exprimant nos principales préoccupations concernant vos plans idéalistes pour arrêter le changement climatique, à laquelle vous n'avez jamais répondu.
Le 5 mai 2020, nous avons eu l'honneur de vous faire part, dans une seconde lettre, de nos profondes inquiétudes concernant vos projets de réingénierie de l'économie mondiale en un système vert idéologique (réf. Dialogue virtuel de Petersberg). Là encore, vous n'avez jamais répondu.
Le 2 janvier 2023, nous vous avons écrit une troisième lettre pour vous demander de cesser de plaider en faveur d'une "société nette zéro". Les résultats de cette politique montrent clairement qu'elle détruira nos économies et que des milliards de personnes en souffriront. Là encore, vous n'avez jamais répondu.
Cette fois-ci, nous vous écrivons pour la quatrième fois afin de vous informer qu'une équipe internationale de scientifiques de la Climate Intelligence Foundation (Clintel), forte de 1 500 personnes, a évalué plusieurs affirmations des rapports des groupes de travail 1 et 2 du GIEC. Les résultats ont été résumés dans le rapport de Clintel intitulé "The Frozen Climate Views of the IPCC" :
L'analyse approfondie de Clintel révèle de graves erreurs dans le dernier rapport du GIEC - Clintel
https://clintel.org/thorough-analysis-by-clintel-shows-serious-errors-in-latest-ipcc-report/
Le rapport de Clintel a été envoyé au président du GIEC, le professeur Hoesung Lee. La critique ferme de la lettre identifie des travaux scientifiques biaisés et invalides dans le rapport AR6 et mentionne un grave manque de gouvernance interne au sein du GIEC.
Il n'est pas surprenant que de plus en plus de personnes dans le monde ne croient plus à une "crise climatique existentielle". Ils se rendent compte que le récit familier de la peur de la mort est basé sur des modèles informatiques surchauffés. Connaissant la faiblesse de ces modèles, pourquoi continuez-vous à parler d'un "enfer climatique à venir" ? Et pourquoi insistez-vous encore pour "maintenir les objectifs de zéro net" ?
M. Guterres, la charte des Nations unies de 1945 stipule clairement que l'ONU doit utiliser un mécanisme international pour promouvoir le progrès économique et social de tous les peuples. Cependant, en encourageant la destruction précipitée de l'industrie pétrolière et gazière dans le monde entier - sans aucun remplacement adéquat - vous faites le contraire et pousserez le monde dans une crise énergétique, entraînant une pauvreté mondiale.
Et pourquoi ne reconnaissez-vous pas que la production massive d'énergie solaire et éolienne intermittente conduit à des systèmes énergétiques peu fiables et à des prix de l'énergie très élevés ? En outre, elle causera d'énormes dommages à l'environnement naturel et une grave pénurie de matériaux tels que le cuivre, le cobalt et le néodyme.
Nous vous invitons à nouveau à organiser avec Clintel une réunion constructive de haut niveau entre des scientifiques de renommée mondiale des deux côtés du débat sur vos plans verts. Une "réunion de l'équipe rouge" concrétisera le principe sain et ancien selon lequel les deux parties doivent être entendues pleinement et équitablement. Audiatur et altera pars !
Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes salutations distinguées,