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Le 11/07/2024 à 21:24, Olivier@ a écrit :Vous pouvez tenter de noyer le poisson, mais votre critique première était celle des parmètres multiples qui sont également pris en considération dans les modèles météo.Le 11/07/2024, Paul Aubrin a supposé :>Le 11/07/2024 à 19:04, Olivier@ a écrit :Sur un seul paramètre, comme vous l'exigez pour les modèles climatique ?>Comment établit-on une nouvelle hypothèse en sciences ? D'abord on l'imagine et on la formalise. Puis on en tire des conséquences numériques (des prédictions). Enfin on confronte ces prédictions avec les observations (de la réalité réelle et non virtuelle). Si les prédictions ne correspondent pas à la réalité, l'hypothèse est invalidée.>
Il en est donc de même des prévisions météo ?
Tout à fait, le principe des modèles météo et leurs paramétrisations sont calés par comparaison avec la réalité.
Mais non, de nombreux phénomènes des météorologiques sont beaucoup trop petits pour être représentés par la maille des modèles météo. Ils sont remplacés par de "paramétrisations" qui sont réglées pour éviter que ces modèles divergent trop vite. Les paramètres des paramètisations sont sont règlés grâce aux observations du passé. En météo, il suffit d'une dizaine de jour de passé.
>Que nenni :>
https://weenat.com/modele-meteo-plus-fiable/
Au delà d'une douzaine de jours, le principe des modèles météo ne permet plus aucune prédiction. Cela résulte de la nature chaotique des équations de Navier-Stokes. Si vous avez une amélioration à apporter à leur résolution, vous pouvez gagner le prix de un million de dollars promis pour toute amélioration significative à ce difficile problème de mathématiques.
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Pour les modèles climatologique, la période d'une douzaine de jours de validité des prédictions de ce genre de modèle est bien courte vis à vis des 11.000 jours minimum exigés par la définition du climat, sans compter que la maille des modèles climatiques est bien plus grossière que celle des modèles météo (même un bon gros ouragan ne peut être représenté).
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Les modèles CMIP ont été comparés avec la réalité sur la période 1979-2015 (40 ans donc climatique). Aucun des centaines d'exécutions de modèles CMIP n'a été capable de représenter la réalité, même sur la période d'apprentissage, et encore moins sur les données futures. Même le vitesse de réchauffement moyen (la sensibilité climatique) n'est pas correctement estimée, et ne parlons pas des fluctuations.
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