Re: [GAG²] Re: Bouleversement climatique en cours ? Nombreux indices.

Le 08/07/2024 à 12:39, Duzz' a écrit :

Le 08/07/2024 à 11:53, Paul Aubrin a écrit :

Le 08/07/2024 à 11:03, Duzz' a écrit :

Le 08/07/2024 à 10:52, Paul Aubrin a écrit :

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[...]
L'effet est nettement plus sensible aux pôles...

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En effet, La Niña au pôle Nord et El Niño au pôle Sud.

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La propagande climatique dont on vous a nourri

 Dans l'immédiat, je me contente de savourer votre participation assidue à ce dîner de cons.

J'apprécie votre admission que vous êtes un connard, mais, ne vous inquiétez pas, cela se voit à chacune de vos répliques.
Contrairement à ce que vous avez lu dans Wikipédia, il n'y a pas d'équilibre radiatif au niveau de la surface terrestre. Il y a seulement un équilibre global (et encore en moyenne puisque la terre tourne sur elle-même et a une capacité calorifique non nulle). La grosse flèche verte tournante de 345 W/m² doit s'interpréter tout simplement comme deux flux virtuels qui s'annulent. Au lieu de 345 W/m², on pourrait mettre n'importe quel autre chiffre (virtuels et qui s'annulent) pour faire peur au gens.
En effet, la chaleur reçue du soleil s'évacue par 3 mécanismes principaux : radiation (1/3), chaleur sensible (14,5%) et chaleur latente (plus que la moitié), le tout en moyenne. Instantanément chacun de ces 3 postes varie en permanence, par exemple avec la couverture de nuages.
Si l'augmentation de 350 ppm à 420 ppm de la concentration en CO2 de l'atmosphère élargit les bandes latérales de la raie d'absorption des 660 cm-1, et bloque 0,31 W/m² (deux pour mille du flux entrant), il s'évacue très simplement par une infime augmentation des deux autres mécanisme au prix d'une augmentation insignifiante de la température. Mais même en l'absence des 2 autres mécanismes, l'augmentation atteindrait à peine 3 centièmes de °C aux latitudes tempérées et six centièmes aux pôles.
Le reste de l'augmentation de température dans les modèles CMIP (des simulations informatiques) résulte de l'introduction de "paramétrisations" pour remplacer les phénomènes trop petits pour être représentés par la maille des modèles et d'un mystérieux phénomène d'amplification qui serait causé par des rétroactions positives considérables (*).
NB : les rétroactions positives rendent immanquablement les systèmes instables. Un système à rétroaction positive est soit un oscillateur, soit bascule rapidement dans un nouvel état stable où ces rétroactions positives disparaissent.