Sujet : Re: Arctique : des étés sans glace de mer probables dès 2030
De : serpan06 (at) *nospam* free.fr (Canta Galet)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 18. Jun 2023, 21:41:59
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Le dimanche 18 juin 2023 à 11:29:37 UTC+2, roaringriri a écrit :
Le 18/06/2023 à 11:13, Valcarus a écrit :
Perplexity a écrit :
Un article publié sur Bon Pote[1] rapporte qu'une équipe de
scientifiques estime que l'Arctique pourrait être privé de glace de
mer (banquise) en été dès les années 2030. Cette estimation est
environ une décennie plus tôt que blablabla
Dans la série "l'Arctique pourrait être privé de glace de mer (banquise)
en été dès les années XXXX"
2008:
https://i.ibb.co/XtQj5tz/aapelmms.jpg
2013:
https://i.ibb.co/9s74xq1/aafeflmsdflsdmf.jpg
2016:
https://i.ibb.co/GJCJxD5/aapeldldllq.jpg
etc, etc.
C'est fascinant, cette façon de se tromper et de n'en jamais avoir honte.
Ils ne se "trompent" pas, il entretiennent encore et toujours le même
rideau de fumée, pour permettre l'administration du désastre actuel.
Nous vivons dans un pays qui, tous les 5 ans, accepte de nouveau, de
valider le même concours de mensonges que la fois précédente.
Alors le même mensonge 20 fois de suite ne fait peur, à personne, ni
n'étonne grand monde.
A. L'état actuel du climat
Depuis l'AR5, les améliorations des estimations basées sur l'observation et des informations provenant des archives paléoclimatiques fournissent une vue complète de chaque composant du système climatique et de ses changements à ce jour. De nouvelles simulations de modèles climatiques, de nouvelles analyses et des méthodes combinant plusieurs sources de données conduisent à une meilleure compréhension de l'influence humaine sur un plus large éventail de variables climatiques, y compris les extrêmes météorologiques et climatiques. Les périodes considérées dans cette section dépendent de la disponibilité des produits d'observation, des archives paléoclimatiques et des études évaluées par des pairs.
B. Futurs climatiques possibles
Un ensemble de cinq nouveaux scénarios d'émissions illustratifs est pris en compte de manière cohérente dans ce rapport pour explorer la réponse climatique à une gamme plus large de futurs gaz à effet de serre (GES), d'utilisation des sols et de polluants atmosphériques que celle évaluée dans le RE5. Cet ensemble de scénarios oriente les projections des modèles climatiques sur les changements du système climatique. Ces projections tiennent compte de l'activité solaire et du forçage de fond des volcans. Les résultats sur le 21e siècle sont fournis pour le court terme (2021-2040), le moyen terme (2041-2060) et le long terme (2081-2100) par rapport à 1850-1900, sauf indication contraire.
C. Informations climatiques pour l'évaluation des risques et l'adaptation régionale
Les informations climatiques physiques traitent de la manière dont le système climatique réagit à l'interaction entre l'influence humaine, les facteurs naturels et la variabilité interne. La connaissance de la réponse climatique et de l'éventail des résultats possibles, y compris les résultats à faible probabilité et à fort impact, informe les services climatologiques, l'évaluation des risques liés au climat et la planification de l'adaptation. Les informations sur le climat physique aux échelles mondiale, régionale et locale sont élaborées à partir de plusieurs sources de données, notamment des produits d'observation, des résultats de modèles climatiques et des diagnostics personnalisés.
D. Limiter les changements climatiques futurs
Depuis le RE5, les estimations des budgets carbone restants ont été améliorées grâce à une nouvelle méthodologie présentée pour la première fois dans la RS1.5, des preuves mises à jour et l'intégration des résultats de plusieurs sources de données. Une gamme complète de futurs contrôles possibles de la pollution atmosphérique dans les scénarios est utilisée pour évaluer de manière cohérente les effets de diverses hypothèses sur les projections du climat et de la pollution atmosphérique. Un nouveau développement est la capacité de déterminer quand les réponses climatiques aux réductions d'émissions deviendraient perceptibles au-dessus de la variabilité climatique naturelle, y compris la variabilité interne et les réponses aux facteurs naturels.