Sujet : Re: [GAG²] Re: Bouleversement climatique en cours ?
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (Paul Aubrin)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 13. Jul 2024, 12:39:53
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Le 13/07/2024 à 13:04, Olivier@ a écrit :
J'ai déjà donné dix fois la référence de la publication. Elle a été écrite par un climatologue de premier rang et par un statisticien. Mais même si l'écart avait été observé par un plombier-chauffagiste, il prouverait que les modèles CMIP ne vont pas validés pour prédire la vitesse "climatique" de réchauffement (la sensibilité climatique), puisqu'aucun de ceux-ci n'a été capable de la déterminer aux incertitudes près.
Merci de confirmer qu'aucune preuve n'est foournie.
Les sorties d'une centaine de modèles ont été comparées avec l'observation de la réalité dans une publication scientifique écrite par un climatologue assisté d'un statisticien (mais cela aurait été par un dentiste n'en aurait pas réduit la validité). La "sensibilité climatique" d'aucun des modèles ne correspond à la réalité et tous divergent dans le même sens (biais systématique). Dans le détail, aucune des trajectoires prévues par les modèles ne ressemble à celle suivie par la réalité.
https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2020EA001281Le réchauffement du système climatique mondial au cours des cinquante dernières années a été en moyenne inférieur de 43 % à celui produit par les modèles climatiques informatisés utilisés pour promouvoir les changements de politique énergétique. Aux États-Unis, en été, le réchauffement observé est beaucoup plus faible que celui produit par les 36 modèles climatiques étudiés ici. Bien que la cause de ce réchauffement relativement bénin puisse théoriquement être entièrement due à la production par l'humanité de dioxyde de carbone provenant de la combustion de combustibles fossiles, cette affirmation ne peut être démontrée par la science. Une partie au moins du réchauffement mesuré pourrait être d'origine naturelle. Contrairement à ce qu'affirment les médias et les communiqués de presse des organisations environnementales, le réchauffement climatique ne justifie pas l'adoption d'une réglementation basée sur le carbone.
Le taux de réchauffement observé au cours des 50 dernières années a été plus faible que celui prévu par la quasi-totalité des modèles climatiques informatisés.
Les modèles climatiques qui guident la politique énergétique ne conservent même pas l'énergie, une condition nécessaire à tout modèle physique du système climatique.
Les politiques publiques devraient se fonder sur les observations climatiques - qui sont plutôt quelconques - plutôt que sur des modèles climatiques qui exagèrent les impacts sur le climat.