Re: Pour ton connard aux ordres, la mer a cessé d'exister...

Paul Aubrin vient de nous annoncer :

Le 30/07/2024 à 21:16, Olivier@ a écrit :

Dans son message précédent, Paul Aubrin a écrit :

Le 30/07/2024 à 16:46, Olivier@ a écrit :

Il faut expliquer à Olivier@. Le solde annuel mesuré par Mauna Loa (ou Barrow) résulte de plusieurs flux opposés d'un total d'environ deux ordres de grandeur supérieurs au solde. Il suffit donc d'une variation infime sur ces flux pour provoquer de grosses variations du solde.

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Expliquez-le au climatologue Philippe Ciais...

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Si Philippe Ciais lit la synthèse du WG1 de l'AR6 du GIEC (pages 697 et suivantes), il n'a pas besoin de mes explications.

 Il aurait sûrement des choses à vous apprendre. En premier lieu, les résultats des études auxquelles il contribue...

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Les synthèses du GIEC sont, en théorie, équilibrées (à charge et à décharge). Elles tiennent comptent, en principe, des publications dont les avis divergent. Le cycle "global" des atomes de carbone reste très mal établi, par exemple parce que les données sont parcellaires et imprécises. Si l'on dispose de données de température de la basse atmosphère assez fines et assez exhaustives depuis une quarantaine d'années, ce n'est absolument le cas pour les flux de "carbone" quel que soient les "réservoirs". C'est reflété dans les synthèses du GIEC par le langage pseudo-probabiliste des "experts". La climatologie, avec son paramètre principal (ECS) entaché d'une marge d'erreur de ±50% est loin d'être une science aboutie, contrairement aux affirmations des politicards.
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Appréciez la différence de maturité entre l'électricité et la climatologie :
ECS entre 2 °C (ou 1,5) et 4°C (ou 6 °C)
charge de l'électron : 1.602176634 × 10−19 C

C'est effectivement un peu compliqué à appréhender pour les esprits simples, habitués à la résolution de simples équations. La climatologie une science molle, multiparamétrique, forcément probabiliste. Mais en cela, on peut la comparer à la médecine, qui ne se prive pourtant pas de résultats ni d'efficacité.