Re: isotopes du carbone dans le CO2 atmosphérique

Le 10/08/2024 à 20:22, Olivier@ a écrit :

Olivier@ mentionne le fait que les épidémies de rhume ou autre maladies respiratoires hivernales se propagent avec le froid. D'ailleurs les britanniques nomment le rhume "common cold". Ma grand-mère aussi d'ailleurs (attraper un refroidissement). C'est, là encore, indéniable. Cela n'est pas en contradiction avec le fait que l'agent infectieux soit un virus, contrairement à ce qu'Olivier@ sous-entend.

 Vous rigolez ? Vos divagations sont accessibles. Si j'en fournis la source, ferez-vous amende honorable ?

Les rhumes et autres infections respiratoires suivent (statistiquement) les températures. Mais, bien entendu, le froid n'est pas l'agent infectieux, qui cause les maladies, qui finissent par achever les gens affaiblis...
Accessoirement, l'excès de froid cause plus de décès que l'excès de chaleur (7 à 10 fois plus selon les publications). Le réchauffement climatique sauve donc des vies.
Malheureusement, même si l'Europe se suicide économiquement en mettant en œuvre le net zéro de la "transition écologique", cela ne sauvera pas grand monde. En effet, le GIEC affirme que chaque 1000 Gt augmenterait la "température globale" de 0,45 °C. L'Europe émet 2,7 Gt de CO2 par an.
Supposons que l'Europe continue (au lieu de se suicider économiquement) à émette ces 2,7 Gt de CO2 par an jusqu'en 2100, quelle serait l'augmentation des températures selon l'hypothèse du GIEC ? 0,45 x 2,7 x (2100 -2024) / 1000 = 92 millièmes de degrés.
Imaginez, au lieu d'avoir 31,8 °C sur la plage de Narbone en pleine canicule, vous auriez 31,9 °C. Nous allons tous mourir.
Mais, allez-vous dire, même les petites choses suffisent à donner l'exemple. Pas du tout. Les Chinois, ni les Indiens n'ont aucun engagement et représente depuis quelques années la majorité des "émissions" mondiales. L'EU peut faire ce qu'elle veut, cela ne changera rien du tout, même si le CO2 est réellement le "bouton de réglage du Climat (loué soit son nom et celui de Greta son prophète).
Le plus rigolo est qu'on ne retrouve pas la signature isotopique du "carbone fossile" dans l'atmosphère et que les molécules de CO2 dans la basses atmosphère se désactivent par collision sans jamais émettre la terrifiante "back radiation" des allumés climatiques.