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Le 11/08/2024 à 17:17, Olivier@ a écrit :Les calculs étaient adaptés à l'hypothèse que toute l'augmentation de laEt si vous nous montriez comment la théorie que vous soutenez permet
de retrouver les -8,93 pour mille PDB mesurés à Barrow ?
Vos calculs étant inadaptés, leurs résultats n'ont aucun intérêt.
concentration en CO2 atmosphérique serait causée par le CO2 "fossile"
par ce que 15,2% restent éternellement dans l'atmosphère et 25,3 % des
centaines d'années.
>>
Rappel :
<NcOdzUi-Sg02eei8mPZ3ucRB06k@jntp>
"Ainsi, à ce rythme, les 890 Gt C de l'atmosphère sont rapidement
remélangées avec le carbone océanique. Cependant, le délai de brassage
varie en fonction de la profondeur de l'océan, ce qui complique la
dynamique de cet échange. Ce processus de brassage *influence également
le rapport isotopique* ^13C/^12C dans l'atmosphère, de sorte qu'il ne
*correspond pas simplement à la proportion attendue* basée sur une
addition de 120 ppm de CO2 anthropique aux 280 ppm préindustriels."
Donc, nous expliquez-vous, les concentrations atmosphériques en CO2 sont
en grande partie régies par les échanges à la surface de l'océan (avec
les équilibres et les temps d'échange liés à l'interface air-océan).
C'est une explication beaucoup plus raisonnable que celle du modèle de
Berne de l'UNFCCC dont le ratio 13C/12C est incompatible avec les
observations.
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