Re: De la part du scatologique "Môônsieur Dirac est un idiot"...

Le 20/08/2024 à 01:17, Alf92 a écrit :

Python (le 19/08/2024 à 16:57:48) :

Le 19/08/2024 à 16:39, JC_Lavau a écrit :

 

[snip gna gna gneu]

>
Un autre exemple du système "argumentaire" du fou furieux :
>
"YBM" <ybm...@nooos.fr> a écrit dans le message de news:
4635a844$0$30076$426a...@news.free.fr...
>

Jacques Lavau a écrit :
[ouin ouin ouin]
>
C'est curieux comment tu fais tout pour faire oublier la raison
de ton ire à mon égard, ce message abject auquel j'ai réagi, bien
qu'il soit adressé à un charlatan notoire :
>
http://groups.google.fr/group/fr.bio.medecine/msg/d6130d7c90b732df?hl=fr
>

>
JCL :
"Merci.
Si tu nous expliquais comment elle s'y est prise, ta môman, pour faire
de toi la tapette lamentable que tu es devenu ? Quelles menaces de
représailles elle brandissait, si tu osais être de ton sexe, et aimer
une femme qui ne soit pas elle-même ? Explique nous ta lâcheté
applatie. Explique-nous tes terreurs devant sa toute-puissance.
"
>
=>
>
YBM :
"Quoi que l'on pense des thèses de JCP, une seule chose
compte dans le message de Lavau :
X-Complaints-To: ab...@club-internet.fr
"
>
Il y a bien quelque chose comme injure et diffamation publique et par écrit,
avec la circonstance aggravante (132-77 du CP) d'être faites en fonction de
l'orientation sexuelle...
Je ne saurais trop conseiller à Mr jcp et mme jcp mère (si...) d'aller
déposer une plainte sans tarder. (si le parquet classe, ils pourront
toujours saisir un Jd'I avec const partie civile ou directement le trib
correctionnel par citation). Eux seuls peuvent le faire, et la prescription
est de 3 mois. (un an avec Perben II ?)
Le fil ne laisse pas penser que l'excuse de provocation et l'excuse de
vérité puisse fonctionner...
>
JCL : avez vous 1 an et demi à perdre, ainsi qu'environ 70 000 euros ? (la
précédente assertion ne tient pas compte de la circonstance aggravante...)
D'ailleurs, oseriez vous réïtérer ces propos ?
>
J'allais répondre à YBM en indiquant que faire un abuse est peu court, mais
c'est effectivement tout ce qu'on peut faire, en plus de renseigner JCP (et
dire à JCL notre mépris : JCL vous êtes un type particulièrement abject.).
>
-
Vicnent (qui, il doit l'avouer, prendrait un certain plaisir à mettra sa
main dans la gueule de JCL)
>
(https://groups.google.com/g/fr.sci.physique/c/CiZt3j9XDqI/m/vc5z4Gh1ksAJ)

 incroyable...

Plonger dans les archives de Usenet de l'activité de Lavau c'est un peu
comme plonger dans une fosse sceptique, l'odeur en pire.
Un peu d'humour, tiens, même chat GPT connaît notre Lavaumatique (copie
de la session entière, le seul "prompt" est la première question :
Une version parodique du **Petit Chaperon Rouge** à la manière de Jacques Lavau pourrait ressembler à ceci :
START
Peux-tu rédiger une parodie du petit chaperon rouge dans le style de Jacques Lavau ?
---
**Le Petit Chaperon Rouge et le Grand Complot du Bois**
Dans un petit village, non loin de la forêt que certains qualifient d'étrange, vivait une jeune fille connue sous le nom de Petit Chaperon Rouge. Ce surnom, bien entendu, n'était qu'un leurre destiné à dissimuler la vraie nature de l'histoire. Car en réalité, ce chaperon n'était ni petit, ni rouge, mais une création de l'industrie textile visant à tromper les masses innocentes.
Un jour, sa mère, complice involontaire du vaste complot des cartels du sucre et de la farine, lui demanda de porter une galette à sa grand-mère. Cette galette, prétendument innocente, était en fait un véhicule pour propager les agents de contrôle mental que les pâtissiers avaient savamment dissimulés dans la pâte. Le Petit Chaperon Rouge, naïve et désinformée par les manuels scolaires manipulés, accepta la mission.
En chemin, elle rencontra le loup, un agent sous couverture travaillant pour le compte des Forces Sylvestres Secrètes (FSS), un groupe méconnu mais puissant qui cherchait à révéler la vérité cachée derrière les légendes populaires. Le loup, connaissant l'enjeu véritable de cette histoire, décida de mener sa propre enquête.
« Où vas-tu, Petit Chaperon Rouge ? » demanda le loup, tout en activant discrètement son dispositif d'enregistrement.
« Chez ma grand-mère, porter cette galette et ce petit pot de beurre », répondit-elle, inconsciente des manipulations en jeu.
Le loup, réalisant que la grand-mère était en fait une éminente chercheuse sur le point de dévoiler la vérité sur les additifs alimentaires, décida d'agir. Il se rendit chez elle en premier, non pas pour la dévorer – car cette version des faits est une déformation orchestrée par les médias de masse – mais pour l'alerter du danger imminent et l'aider à se cacher.
Quand le Petit Chaperon Rouge arriva, le loup, ayant pris la place de la grand-mère dans un effort pour déjouer les complots, attendait de lui faire comprendre la vérité. Mais avant qu'il ne puisse lui expliquer, le chasseur, envoyé par les agences de régulation forestière pour maintenir l'ordre établi, fit irruption dans la maison.
« Qu'est-ce que c'est que ce cirque ? » s'exclama le chasseur, armé non pas d'un fusil, mais d'un mandat de perquisition. « Vous êtes en violation de l'article 42-B sur la distribution non contrôlée de galettes et d'additifs non déclarés. »
Le loup, pris au piège, tenta de révéler la conspiration, mais il fut rapidement réduit au silence, la vérité restée enfouie sous une couche de mensonges industriels.
Le Petit Chaperon Rouge, elle, retourna au village, toujours inconsciente de ce qu'elle avait failli découvrir, son esprit tranquillement apaisé par les substances contenues dans la galette.
Et c'est ainsi que, dans un monde gouverné par les désinformations et les manipulations, le Petit Chaperon Rouge continua d'errer dans les bois, ignorant que sa propre histoire n'était qu'une pièce de théâtre orchestrée par ceux qui tirent les ficelles dans l'ombre.
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Voilà une parodie qui, en restant fidèle au ton de Jacques Lavau, intègre son penchant pour les théories conspirationnistes et les intrigues cachées.