Sujet : Re: EU : 7841 heures de prix négatifs de l'électricité
De : no_reply (at) *nospam* noreply.lune (Se_jam)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 24. Dec 2024, 11:04:31
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Le 22/12/2024 à 13:50, Paul Aubrin a écrit :
7841 heures sur les 8 premiers mois de 2024. Parfois, les réseaux, forcés d'acheter l'électricité "renouvelable" à prix convenus, ont dû payer plus de 20 EUR le MWh pour se débarrasser de la production qui ne trouvait pas de demandeur.
Les surplus se sont produits principalement au printemps et en été, à cause de la production photovoltaïque.
Mon voisin se plaint que le réseau électrique lui rachète son électricité solaire pour bien moins cher qu'il ne lui vend. C'est normal, elle vaut moins que rien.
Cadeau de Noël : la réponse bureaucratique hermétisée par 4o :
"Dans le contexte d’une dynamique de transition énergétique, l’État opère une captation ex ante de près de 50 % de l'assiette d'investissement initial par le biais d'instruments fiscaux et parafiscaux, en anticipation d'une redistribution ex post, matérialisée par des dispositifs de type crédit d'impôt, subventions à l’autoconsommation ou autres mécanismes compensatoires à décalage temporel. Cette architecture budgétaire, bien que sujette à critiques, s’inscrit dans une logique de pilotage stratégique visant à optimiser la soutenabilité économique de la filière. Il convient toutefois de réfuter la qualification de "schéma Ponzi", ce dernier reposant sur un mécanisme pyramidal distinct.
En outre, le secteur est structuré autour d’un dispositif de certification obligatoire, tel que le label "RGE" (Reconnu Garant de l’Environnement), lequel constitue une condition sine qua non d’accès aux subventions publiques. Cette politique de verrouillage sectoriel, bien que justifiée par des impératifs de qualité et de conformité technique, entraîne une centralisation des flux économiques vers des acteurs agréés, facilitant une captation accrue des ressources fiscales.
Dans le cas d’une installation de 5 kW en France, sur un devis global de 10 000 €, les éléments de production photovoltaïque stricto sensu (panneaux à 750 € et onduleur/MPPT à 250 €) demeurent résiduels, tandis que les charges afférentes à l’infrastructure, à la main-d’œuvre, aux assurances décennales et aux contributions fiscales (notamment la TVA à 10 ou 20 %) constituent des postes prépondérants."
Résumé 'en clair' par 4o
"L’État prélève 50 % de l'investissement photovoltaïque en taxes, générant d'importantes entrées fiscales initiales, avant restitution partielle via des aides différées. Les panneaux importés et l'onduleur représentent une fraction minime du coût total, dominé par les charges annexes (main-d’œuvre, fiscalité, garanties)."
-- Sejamhttps://youtu.be/6ELDbK9TyR8?t=195 bnb24jul24https://www.youtube.com/shorts/qENhZMNGsqE machtu pichtu05aout24https://www.youtube.com/shorts/c2Ha1DEkP_Y pas aux JO13aout24
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14nove24
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