Fin de partie.

L'écologisme d'Etat a donné tout ce qu'il pouvait donner, en terme de pillage de caisses publiques, et le Crime Economique Organisé a décidé de passer à autre chose.
L'arrivée sur l'estrade de Trump et le ralliement des mentors économiques du findumondisme écologique, va redistribuer les cartes des idéologies de diversion.
L'anti fascisme, va prendre la place de l'écologisme, pour assurer les revenus des vendeurs de postures numériques.
Le clivage pro et anti climatistes, va bien sur être encore utilisé, se serait dommage de ne pas en tirer les dernières potentialités de revenus, et surtout il est indispensable pour imposer l'idée d'un désastre futur imaginaire est plus importante, que la constatation de l'état actuel environnemental alarmant, de notre planète.
Mais on constate déjà que le principal chantier de propagande a changé, et que la préparation de l'opinion à  la guerre, a pris le dessus sur les autres modes d'organisation de la passivité.
Et puis la réalité est féroce, les pays peuplés d'écologistes, n'ont a se mettre sous la dent que quelques incendies, inondations ou tempêtes, tout à fait ordinaires, et aussi récurrents que prévisibles, qu'ils transforment en "preuves" de leurs avertissements, avec l'appui enthousiaste des assureurs, qui militent pour la collectivisation des remboursements.
Les agonies idéologiques occasionnent des soubresauts incontrôlables, les retardataires se retrouvant privés de leur rôle.
Il faut donc s'attendre à de multiples proclamations hystériques, mais elles iront en se raréfiant.