Re: L'avis de la cacadémie des sciences sur la PPE

Le 27/04/2025 à 12:32, Eric M a écrit :

Paul Aubrin <paul.aubrin@invalid.org> a écrit le Sat, 26 Apr 2025 23:24:13 :
 

Marc Fontecave est un farouche partisan du nucléaire et des gazs de schiste, coïncidence heureuse il travaille avec Total :

  

<https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Fontecave#Prises_de_position>

 

Stratagème connu "empoisonner la source", cela sert à faire semblant d'ignorer les arguments scientifiques et techniques.

 

Je me borne à rappeler ses conflits d'intérêt vu qu'il a malencontreusement omis d'en parler.

 

Une source fiable (sur ce genre de sujet, Wikipédia n'en est pas une) ?

 Le Collège de France, ça vous suffira ?
  <https://www.college-de-france.fr/fr/actualites/signature-un-contrat-de-collaboration-avec-le-groupe-total-dans-le-domaine-de-la-transformation-du>

Le prestige du Collège de France a été fortement rehaussé par Françoise Héritier, qui y a professé que le dimorphisme sexuel dans l'espèce humaine est le résultat d'un complot masculiniste et patriarcal des hommes des cavernes contre les femmes des cavernes : ils auraient affamé les femmes des cavernes pour qu'elles ne puissent pas atteindre leur taille normale.
Ainsi Françoise Hétier découvrait l'hérédité des caractères acquis... Une invention qui aurait mérité le Nobel. Oui mais le plafond de verre sur la tête des sexistes...
Hélas Sophie n'avait pas lu Françoise Héritier ! Elle proclamait : "Moi, en dessous d'un mètre quatre-vingt, je regarde pas !".
Rrhaah lovely ! Le Collège de France et sa crédulité carbocentriste après sa crédulité féminazie !
Le prestige de la cacadémie a été fortement rehaussé par Claude Allègre, qui leur a présenté les futures usines de capture et enfouissement de dioxyde de carbone. Rrhaah lovely ! Et tant pis pour la minorité de riverains malchanceux au prochain accident. --
La science se distingue de tous les autres modes de transmission des connaissances par une "croyance" irrévérencieuse : nous CROYONS que les "experts" sont faillibles, que les traditions peuvent charrier toutes sortes de fables et d'erreurs, et qu'il faut vérifier, par des expériences soigneuses.