Sujet : Re: ZFE : la pollution de l'air
De : paladin (at) *nospam* france-telecom.invalid (paladin)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 16. May 2025, 10:48:48
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Le 15/05/2025 à 21:53, paladin a écrit :
Le 15/05/2025 à 17:59, Se_jam a écrit :
Le 15/05/2025 à 15:54, paladin a écrit :
Le 15/05/2025 à 11:31, roaringriri a écrit :
Le 15/05/2025 à 10:44, paladin a écrit :
Le 14/05/2025 à 22:51, Paul Aubrin a écrit :
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https://www.lepoint.fr/debats/zfe-assez-d-invoquer-le-pretexte- sanitaire-02-05-2025-2588682_2.php
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Extrait :
Les vraies sources de pollution
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En réalité, non seulement la mortalité prématurée due à la pollution atmosphérique est très surestimée, mais la pollution aux particules fines a pour principale origine non pas les transports, mais le chauffage au bois. Les données d'émissions du rapport Secten 2024, compilées par le Citepa et qui font référence, sont très claires : les transports sont responsables en France de 10 % des émissions de particules d'un diamètre PM10, de 9,8 % des PM2.5 et de 5,7 % seulement des émissions de PM1, les particules les plus fines (et les plus délétères). Le chauffage des bâtiments, notamment au bois, représente 83,3 % des émissions de ces dernières.
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10 % seulement la pollution du au transport? ? Encore un mensonge.
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Compte combien de semis sont passés en 5 minutes,ensuite combien de véhicules sont passés en 5 minutes.
<https://www.youtube.com/watch?v=r4nGxzP6FY4>
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Camions européens,portugal,pologne,roumanie,russie peut étre aussi ......
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Autoroute dont une 3 eme voie a était rajoutée,toujours plus de pognon et de pollution.
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Les écologistes de conseil d'administration sont bien les derniers à être légitimes pour parler de pollution atmosphérique.
Après nous avoir fait pendant 30 une propagande intensive pour le diesel dégueulasse, voilà qu'il le condamnent aujourd'hui avec la même ferveur, alors qu'il devenu presque supportable, pour mettre en avant le désastre des véhicules électriques.
Le tout bien sur, en continuant de militer pour un ferroutage impossible, consistant à faire monter les camions sur les trains, plutôt que de proposer l'imposition du format container aux camions, ce qui, comme en Chine, nous en débarrasserait au profit du train en 5 ans (durée d'amortissement fical, d'un camion).
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300 a 500 kg de lithium par voiture.
Le lithium qu s'enflamme au contact de l'eau et de l'air.
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500 kg de batterie, oui – mais pas 500 kg de lithium !
Les batteries actuelles contiennent 100 à 120 grammes de lithium par kWh (selon la technologie). Pour une batterie géante de 100 kWh (ex : Tesla Y : 76 kWh), cela représente 10 à 12 kg de lithium seulement, sur un poids total de 500 à 800 kg.
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Le Hummer EV a une batterie de 212 kWh (1 300 kg), mais ne contient que ~25 kg de lithium – pas 500 kg. Les batteries actuelles en contiennent 0,1 kg/kWh max, stabilisé sous forme non métallique.
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Le lithium métal (Li) coûte théoriquement ~46,5 €/kg (372 ¥) en se basant sur le prix du carbonate de lithium (70 000 ¥/tonne (1)), sans inclure les coûts d'extraction ou de purification.
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Comprenudre qui poudre !
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(1)https://tradingeconomics.com/commodity/lithium
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Au cœur de chaque voiture électrique, la batterie lithium se présente comme la pièce maîtresse. Bien que Tesla, Peugeot, Renault ou même BMW et Mercedes, par exemple, utilisent tous des batteries de ce type, leurs compositions chimiques et donc leurs performances varient considérablement. Ces différences s’expliquent par la recherche incessante des fabricants, tels que Panasonic ou LG, pour améliorer l’efficacité tout en réduisant les coûts. La composition exacte reste souvent secrète, mais les ingrédients de base restent similaires. Explorons-les :
Lithium : Pivot de la batterie, le lithium orchestre le mouvement des ions entre les pôles positif et négatif, générant ainsi le courant électrique. Pour des raisons de sécurité et d’efficacité, le lithium pur laisse sa place à des oxydes de lithium métal plus stables.
Cobalt : Ce métal joue un rôle clé dans la densité énergétique et la stabilité thermique de la batterie. Toutefois, son coût élevé et les enjeux éthiques liés à son extraction poussent les industriels à chercher des alternatives.
Nickel : Utilisé pour augmenter la capacité de stockage, le nickel, bien que moins cher que le cobalt, présente ses propres défis, notamment en termes de dégradation à long terme de la batterie.
Manganèse : Moins présent que le nickel ou le cobalt, le manganèse contribue à la stabilité structurelle de la batterie.
Fer et phosphate : Ces éléments sont présents dans les batteries dites “LFP”. Ces matériaux abaissent la densité énergétique et engendre donc une batterie plus lourde et volumineuse à capacité équivalente. Cependant, ces matériaux permettent de s’affranchir du cobalt et du nickel notamment.
Silicium : Complément au graphite dans l’anode, le silicium augmente considérablement la densité énergétique, permettant ainsi de stocker davantage d’électricité.
Électrolytes et séparateurs : Ces éléments assurent le transport des ions lithium et empêchent les courts-circuits, garantissant le bon fonctionnement et la sécurité de la batterie.
Le Lithium,le cobalt,le nickel,le manganèse,le fer,le phosphate,le silicium j'en trouve quand je laboure mon champ pour planter les patates.
-- Papy fait de la résistance