Sujet : Re: 40 ème degré
De : pc (at) *nospam* ue.com (P Cormoran)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 30. Jun 2025, 17:17:16
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roaringriri a présenté l'énoncé suivant :
Le 30/06/2025 à 17:19, P Cormoran a écrit :
roaringriri a formulé la demande :
Le 30/06/2025 à 17:04, P Cormoran a écrit :
Dans son message précédent, Paul Aubrin a écrit :
Le 30/06/2025 à 12:47, P Cormoran a écrit :
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Les modèles excluant les gaz à effet de serre humains ne reproduisent pas le réchauffement observé. Et le soleil ? Son activité est stable ou en légère baisse depuis les années 1980, alors que les températures grimpent. L’écart pointe clairement vers l’origine humaine du réchauffement.
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Les modèles sont, au mieux, des preuves circulaires, ils produisent les résultats correspondant aux hypothèses et aux paramètres avec lesquels ils ont été construit. Les modèles CMIP ont, en plus, la particularité de ne reproduire correctement ni le passé, ni l'avenir. On ne voit pas très bien comment il pourraient reproduire le présent avec une composition différente de l'atmosphère.
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Les modèles ne sont pas des boucles fermées : ils sont testés sur le passé, comparés aux observations, ajustés, et constamment évalués. Et même sans eux, la physique du CO₂, les bilans énergétiques, et les données empiriques convergent. Le réchauffement observé suit l’évolution des émissions humaines, pas celle du Soleil.
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C’est cela qui rend l’alerte inédite.
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C'est surtout ce qui lui donne un caractère d'hystérie collective.
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Alerter sur un danger documenté par des milliers d’études, ce n’est pas de l’hystérie, c’est de la prévention. L’hystérie, ce serait d’ignorer les faits sous prétexte qu’ils dérangent. Refuser le constat scientifique ne rend pas la menace moins réelle — juste plus risquée.
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Les études ne documentent dans les faits aucun danger. Elles font des hypothèses et en dérivent des conséquences plausibles. En climatologie, très peu de ces conséquences sont testables. Toutes les tentatives de test scientifique de ces hypothèses sont négatifs. Les hypothèses qui ont été testées ne représentent pas correctement la réalité. L'hystérie climatique est une application à mal escient d'une sorte de principe de précaution complètement dévoyé.
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Comment valide-t-on une hypothèses en sciences (1'02, sous-titres français) :
https://www.youtube.com/watch?v=0pK01iKwb1U&feature=youtu.be
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Une hypothèse scientifique est testée par l’observation, la reproductibilité et la cohérence avec les données. Or, l’élévation des températures, la fonte des glaces, la montée des mers ou l’acidification des océans confirment les prédictions depuis des décennies. Ce ne sont pas des “conséquences plausibles”, mais mesurées.
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Toute l'histoire de la science, n'est qu'une suite de convictions unanimes, ridiculisées la génération suivante.
Je serai curieux de savoir quelle proportion de ces génies est chrétien, juif ou musulman, ou simplement inscrit sur une liste électorale.
L’histoire de la science progresse justement en se corrigeant. C’est sa force, pas sa honte. Mais refuser les mesures actuelles sous prétexte que d’autres se sont trompés avant, c’est comme refuser un diagnostic médical parce que la saignée était à la mode au XVIIIe siècle.
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Votre médecine a effectivement de superbes résultats, elle c omplète assez bien le boulot de la physique.
50% de chances de chopper un cancer, autant pour une maladie Cardio Vasculaire, et pas loin de cette proportion, de souffrir d'une maladie dite "auto-immune", par ce qu'on ne lui a pas encore trouvé de nom.
C’est sûr, mieux vaut revenir à l'époque où une rage de dent tuait à 30 ans. Critiquer la médecine moderne en oubliant qu’elle a doublé l’espérance de vie, c’est comme reprocher à l’électricité de ne pas empêcher les coups de foudre.