Re: L'avenir de l'hydrogène

Paul Aubrin a exprimé avec précision :

Le 01/07/2025 à 11:44, Olivier@ a écrit :

Mauvaise explication. Le GIEC ne dit pas "dominant" mais "prépondérant" (plus de 51%). Selon cet organisme, il a plus d'influence que tous les autres réunis. Dans cette hypothèse, la baisse des températures observées pendant la période (climatique) de 1945 à 1975 est inexplicable.
NB : Cela tombe bien, les séries des grands organismes de recherche climatologiques ont été "ajustées". Par exemple, le net refroidissement que l'on observait dans les versions 1, 2 et 3 de leur série HADCRUT est devenue une stagnation dans la version 5. C'est la nouvelle méthode scientifique utilisée en climastrologie : si la réalité ne se conforme pas aux prédictions, ajustons le passé.

 Et hop, on passe de 1915-1945 (puisque votre intox est éventée) à 1945-1975.

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Les conséquences ne peuvent qu'aller dans le sens d'une cause qui est plus forte que toutes les autres réunies. Pour le GIEC, le CO₂ est la cause prépondérante, et même, si on analyse soigneusement les détails du rapport du WG1, presque exclusive (pas loin de 100%). Le CO2 ayant augmenté ente 1945 et 1975, les températures devaient pas avoir pu baisser, or elles ont baissé (enfin, le passé ayant été ajusté récemment, désormais, elles stagnent, ce qui reste incompatible avec les hypothèses du GIEC).
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La croissance des températures de 1915 à 1945 (+0,6 °C) est, elle-aussi, trop considérable pour être expliquée à 100% (ou même 51%) par les augmentations de CO2 de l'époque.
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L'hypothèse du GIEC, le CO2 est le bouton de thermostat de l'atmosphère, ne correspond pas à ce que l'on observe dans la réalité. D'ailleurs dans la vraie réalité, les variations de CO2 suivent celles de température et non le contraire (aux échelles géologiques aussi).

Pour les *deux périodes que vous avez choisies*, pouvez-vous citer les passages du rapport du giec qui prouvent ce que vous dites : "Co2, cause qui est plus forte que toutes les autres réunies" ?
En l'absence de cette preuve, tout votre raisonnement s'effondrerait.