Re: Russie

Calamity Jade wrote:

 "K-hole" <secwin88@yahoo.co.jp> a écrit dans le message de groupe de discussion : Qs0Dwss2bfXY-yupG1DOzhWV-ZE@jntp...

Sur les 6 derniers mois, la dégringolade est assez marquée :
>
5 janvier 2025 : 1 $ = 110 ₽ 5 juillet 2025 : 1 $ = 78 ₽
>
https://wise.com/gb/currency-converter/usd-to-rub-rate

 "Depuis février 2022, la presque totalité du fond de réserve souverain
de la Russie [cad l'argent que la RuSSie arrivait à mettre de côté grace
aux exportations de ses richesses énergétiques, le pétrole et le gaz dabs
le monde entier] a été siphonné, dilapidé pour nourrir la machine de
guerre et la production militaire, le paiement des primes d'engagement
et des salaires mirobolants [l'équivalent de 30,000 dollars pour la prime
d'engagement, et 3,000 dollars mensuels pour le salairs minimum, tout
ça pour finir machabé et engrais ukrainiens, dans le Hachoir à viande
russe de Vladolf Putler en Ukraine, et maintenant en RuSSie."
 Même la Directoire de la Banque centrale naziruSSe [j'ai oublié son nom]
commence à paniquer et à parler de destruction de l'économie naziruSSe,
et demande à Poutine de retirer l'Armée naziruSSe d'Ukraine.
 Le problème de Vladolf Putler et de son gang mafieux criminel de guerre,
kleptomanes, psychopathes et génocidaires du 4ème Reich naziruSSe,
c'est que leur guerre d'invasion en Ukraine est devenue leur assurance
vie, et que s'ils décidaient effectivement de retirer l'Armée naziruSSe
de l'Ukraine [dans ses frontières de 1991], ils signaraient immédiatement
leur arrêt de mort.
 La guerre en Ukraine est devenue consubstancielle de l'Etat naziruSSe,
sans elle, leur régime super-corrompu, le plus corrompu de la Galaxie,
s'effondrerait du jour au lendemain, comme un chateau de carte ou
un jeu de dominos.

Bien écrit. Un très joli exercice scolastique. Hélàs la théorie
qui n'est pas confirmée par les faits ... ne vaut rien.
La problème est que K. ne s'est pas rendu compte que c'est le dollar
qui c'effondre et non le rouble.
En 6 mois je dollar a perdu 40% face au rouble, l'air de rien.