Re: Guterres à Kazan

Beep Beep :

K. :
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Je pense que Netanyahou est engagé dans une sorte de fuite en avant, et
qu'il lui est difficile de revenir en arrière. Je m'étonne qu'il n'y ait
pas eu, comme aux États-Unis après les attentats du 11/9/2001, de
restructuration des services de renseignement, ni de réformes profondes
pour pallier les problèmes de sécurité qui se sont révélés avec évidence
lors de l'attaque du 7 octobre.
 
J'ai l'impression que Netanyahou est "obligé" de conserver cette posture
offensive, coûte que coûte, pour éviter d'être obligé de reconnaître sa
responsabilité dans la faillite du système de défense.

 
Le retour de la paix serait la fin du règne Netanyahou et peut-être la
prison...

Si Netanyahou peut encore s'en sortir s'il réussit à se débarrasser des
Palestiniens vers l'Egypte, la Jordanie ou le cimetière et à paralyser le
Hezbollah au Liban avec l'aide politique des Américains.

Les dirigeants arabes se fichent éperdument du sort des Arabes de Palestine,
les occidentaux encore plus et les Israéliens n'aspirent qu'à profiter
tranquillement des dividendes d'une colonisation sans colonisés, dont de
juteux accords commerciaux avec les régimes musulmans autoritaires.