Re: Groenland

Volkin a émis l'idée suivante :
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Vous ne répondez pas à ma question. Si ces travaux étaient une ‘escroquerie’, pourquoi sont-ils publiés par des maisons d’édition universitaires et cités dans des revues académiques reconnues ? Pourquoi des historiens de divers pays, y compris russes et ukrainiens, qui ont eu accès aux archives post-soviétiques, aboutissent-ils aux mêmes conclusions ? Une accusation de financement extérieur ne remplace pas une démonstration historique. Si vous avez une critique fondée sur des faits et des sources vérifiables, exposez-la.

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Je n'ai rien à exposer. C'est vous qui avez formulé des accusations,
accusations grâves, sans aucune preuve.

Vous affirmez que ces travaux sont une ‘escroquerie’, une accusation grave en soi. Pourtant, vous refusez d’en apporter la moindre preuve. Si vous rejetez des recherches académiques reconnues, le minimum serait d’expliquer pourquoi, avec des sources fiables et des arguments précis. Dire simplement ‘je n’ai rien à exposer’ revient à admettre que votre position repose sur du vide.
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Votre comparaison avec le Yéti est une tentative de discréditation sans fondement. L'Holodomor n'est pas une légende urbaine, c'est un événement historique étudié par de nombreux historiens qui ont travaillé sur des archives officielles, des documents d'époque et des témoignages directs. J’ai mentionné des sources précises et des références archivistiques.

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Les documents qui existent ne permettent pas de conclure à une
quelconque volonté des pouvoirs centraux d'exterminer les ukrainiens
ou paysans ou femmes ou ce que vous voulez, rien de tout ça.
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S'il y a des documents qui le prouvent montrez les au lieu de
poster des numéros choisis au hasard.

Vous affirmez que ‘les documents existants ne permettent pas de conclure à une volonté des pouvoirs centraux’. Sur quoi vous basez-vous pour dire cela ? Avez-vous étudié ces documents, ou vous contentez-vous d’une affirmation gratuite ? Des documents comme les ordres de réquisition de céréales, la fermeture des frontières ukrainiennes, la criminalisation de la fuite des affamés et la répression ciblée sont bel et bien attestés dans les archives soviétiques. Des chercheurs comme Nicolas Werth et Anne Applebaum les ont analysés en détail. Si vous prétendez qu’ils ne prouvent rien, alors démontrez-le avec des sources, et pas seulement avec des affirmations vagues.