Re: [Guerre Russie-Ukraine] Résumé de trois ans de guerre d'invasion impérialiste naziruSSe contre l'Ukraine - 22/02/2025

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Sujet : Re: [Guerre Russie-Ukraine] Résumé de trois ans de guerre d'invasion impérialiste naziruSSe contre l'Ukraine - 22/02/2025
De : volkin (at) *nospam* yahoo.caca (Volkin)
Groupes : fr.soc.politique
Date : 26. Feb 2025, 16:26:03
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P Cormoran wrote:
Volkin avait écrit le 25/02/2025 :
(..........)
*Les preuves du bombardement sont nombreuses et incontestables*
>
Non, aucune.
>
- Le 9 mars 2022, l'hôpital de maternité de Marioupol a bien été frappé par une bombe larguée depuis les airs, ce qui pointe directement la responsabilité de l’aviation russe.
>
Non.
>
- Des images satellites, des témoignages de survivants et des rapports d’organisations indépendantes (OSCE, ONU, Amnesty International) confirment que l’hôpital a été détruit par un bombardement aérien.
>
Non
 Affirmer qu’il n’y a 'aucune preuve' ne fait pas disparaître les faits. Voici quelques éléments concrets qui confirment que l’hôpital de maternité de Marioupol a bien été bombardé par l’aviation russe le 9 mars 2022 :
- Des clichés pris avant et après l’attaque montrent clairement les dégâts causés par une frappe aérienne.
- De nombreux journalistes ont filmé les destructions et recueillides témoignages juste après l’attaque.
- Des organisations comme l’ONU, l’OSCE, Amnesty International et Human Rights Watch ont enquêté et conclu qu’il s’agissait bien d’un bombardement aérien russe.
- Des patients, des médecins et des habitants ont décrit l’explosion et confirmé l’absence de combats au sol au moment des faits.
- L’impact et les débris correspondent à une bombe larguée depuis les airs, et non à une explosion terrestre ou un tir d’artillerie.
C'était une mise en scène, exactement comme au théatre de Marioupol,
une charge explosive installée à l'intérieur et actionnée pour
simuler une frappe aérienne.

Les journalistes de l’AP étaient sur place, ont filméles destructions et recueilli les témoignages des blessés. Tous ces éléments sont corroborés par des rapports d’enquête internationaux.
Il y avait une équipe pour filmer, une équipe de professionnels
de propagande.

Si vous prétendez que ces victimes n’existent pas, il va falloir expliquer pourquoi il y a des vidéos, des témoins, des médecins et des organisations indépendantes qui confirment l’attaque et ses conséquences. Ou alors, peut-être que toutes ces personnes et institutions font partie d’un gigantesque complot mondial… auquel cas, bon courage pour essayer de le prouver.
Il y avait aussi des témoignages qui disaient que le hopital
ne fonctionnait pas, il était fermé fin fevrier.

Vyshemyrskaja a été évacuée vers Zaporojié. Etant une "célebrité" elle
aurait pu très bien aller en Europe, demander un asile, mais elle
a trouvé un moyen de retrouner à Donetsk dont elle était originaire,
puis elle a démenagé à Moscou, je ne vois pas comment on aurait pu
la forcer.
 Le fait qu’elle ait quitté Marioupol pour Zaporojié ne signifie pas qu’elle était totalement libre de ses choix ensuite.
A moins qu'elle n'ait été totalement libre à Marioupol.

Marianna Vyshemyrska s’est retrouvée au coeur d’une intense campagne de désinformation russe, l’accusant d’être une actrice dans une 'mise en scène' ukrainienne. Elle est donc devenue une cible médiatique, ce qui a pu influencer ses décisions et limiter ses options.
Non, elle s’est retrouvée au coeur d’une intense campagne
de désinformation ukrainienne.

Vous dites qu’elle aurait pu 'très bien aller en Europe' mais cela suppose que la situation était aussi simple. Avez-vous des preuves qu’elle a eu cette possibilité, ou qu’elle aurait été acceptée en tant que réfugiée politique ? Dans un contexte où la propagande russe la mettait en avant pour minimiser le bombardement de la maternité, il est légitime de s’interroger sur la pression qu’elle apu subir, directement ou indirectement.
Justement s'il y avait une pression russe c'était une raison de plus
pour obtenir un status de réfugiée politique en Europe.

N'importe quoi.
 Dire 'n’importe quoi' n’est pas un argument, c’est juste un rejet sans fondement. Pourtant, il existe de nombreuses preuves que la liberté d'expression est sévèrement restreinte dans les zones sous occupation russe.
 - Les lois russes interdisent de qualifier l’invasion de l’Ukraine de 'guerre', sous peine de lourdes peines de prison. Cela montre bien que la Russie impose un contrôle strict du discours public.
Non, il n'est pas interdit de prononcer le mot "guerre". Il est juste
interdit de mentir dans ce contexte.
Après, tout dépend de ce qu'on veut comme résultat.
Si les mensonges à la "maternité de Marioupol" ou "Boutcha" incitent
des plus idiots aller s'engager dans l'armée ukrainienne pour mourir
dans les tranchées à Bakhmut, Avdeevka ou Pokrovsk, pourquoi pas.

Date Sujet#  Auteur
10 May 25 o 

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