Re: La Défaite Morale de la Social-Démocratie Française

Liste des GroupesRevenir à fs politique 
Sujet : Re: La Défaite Morale de la Social-Démocratie Française
De : r.hachel (at) *nospam* wanadou.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.soc.politique
Date : 02. Jul 2024, 15:53:23
Autres entêtes
Organisation : Nemoweb
Message-ID : <xTUZvsRjnUg11I7qtLlJjyCLo6A@jntp>
References : 1 2
User-Agent : Nemo/0.999a
Le 02/07/2024 à 15:23, Lebref a écrit :
Le regard du voisin :
 
L’Histoire ne pardonnera pas aux Faure, Glucksmann, Hollande & Cie
d’avoir combattu l’européen progressiste Macron pour s’inféoder au
trotskiste antisémite Mélenchon, meilleur agent électoral du RN. Ce
suicide moral pour tenter d’exister enterre la social-démocratie
française.
 Souhaitons que votre suicide moral enterre la république et que le peuple
français puisse passer à autre chose.
La République est enterrée depuis longtemps.
C'est la ressusciter qu'il faut faire.
Comme de Gaulle en 1945 et les trente années de gloire qui en suivirent. "Les trente glorieuses".
Problème : il n'y a plus de de Gaulle en France, et s'il y en avait un, il serait abattu tout de suite
par les élites mondialistes, ultra-atlantistes, wokistes, économiques et cérébro-esclavagistes.  Je pense que c'est foutu.
Il faut lire "le meilleur des mondes" et "1984".
On y est, les amis. C'est d'ailleurs le dernier mot de Jésus sur la croix (censuré par les élites chrétiennes).
Que dit Jésus?
"-C'est foutu."
Ou plus précisément : "C'est attesté que c'était foutu d'avance". Echec et mat. Celui qui voulait sauver le monde de toute sa crapulerie en ne lui imputant pas son péché, lui offrant sa grâce gratuite pour peu qu'ils se repentent, est massacré par ceux-là même qu'il voulait sauver.
A Golgotha, ce n'est pas Jésus qui sauve l'homme (la paix), comme ces immondes crétins de chrétiens le pensent, en leur offrant le parchemin de la rédemption. Pas du tout, c'est l'inverse. C'est l'homme qui fout le feu au parchemin que Jésus leur offrait.
Ne reste plus que l'épée et la venue du second Messie. C'est en ça que consistait la venue de Jésus. Légitimer l'épée du second Messie. Laisser les mains libres au "fou" dont les yeux sont sanguinaires, et dont les pieds sont comme de colonnes de feu. "Si je ne meurs pas, il ne viendra pas".
"Lui dont je ne suis pas digne d'en délier la godasse".
"Mon Père vous l'enverra"
"L'homme par qui le bon Dieu jugera le monde". Etc...
C'est en perdant que le petit Jésus gagne. PERDRE? Scandale pour les juifs, folie pour les nations.
Mais gagner, en montrant qu'un Messie gentil (Machiah ben Joseph Tsadik)
ça ne marchait pas, et que seul un Machiah ben David pouvait sauver le monde en faisant passer la cafetière au travers de la gueule des méchants et des rats.
Jésus n'était donc pas le Messie prévu, mais son prédécesseur utile : les deux venues, les deux Messies. "Je suis venu lui préparer la route". L'attente continue...
A noter que quand ce Machiah voudra se lever, Dieu lui donnera l'ordre de rester assis.
"Assieds-toi à ma droite, pendant que je fais d'eux un marchepied pour tes pieds". Il ne les soumettra donc pas lui-même.
La seconde venue du Messie est une mauvaise traduction : il faut traduire pas la venue du second Messie.
Et c'est tout à fait différent.
Les deux messies. La Thora ne commence pas par un aleph, mais un beth. Le bon Dieu avait tout fait par deux. R.H. 
Date Sujet#  Auteur
7 Sep 24 o 

Haut de la page

Les messages affichés proviennent d'usenet.

NewsPortal