Re: Quelle claque pour le RN !

Le 12/07/2024 à 08:09, jmh a écrit :

Se jam a exprimé avec précision :

Le 11/07/2024 à 21:23, Beep Beep a écrit :

Le 10/07/2024 à 23:14, Lebref a écrit :

Beep Beep :
>

Mr Henri :
>

Un posteur macroniste de fsp vantait après le premier tour la précision
des prévisions des sondages. Les prévisions pour le deuxième tour
étaient-elles bidonnées ?

>
Je ne pense pas, mais c'est vraiment surprenant, les Français ont-ils
voulu montrer leur mécontentement au premier tour, puis se sont ravisés ?

>
Au premier tour le RN arrive en tête avec 29,26 % des suffrages exprimés,
au second tour le RN arrive en tête avec 32,05 % des suffrages exprimés.
>
Résultat : 88 sièges, contre 146 pour le NFP arrivé deuxième et 148 pour la
liste Macron arrivée troisième.
>
Donc les Français ne semblent pas avoir changé d'avis et avec un scrutin à
la britannique le RN aurait eu une écrasante vague bleu marine et la
majorité absolue.
>
Vous l'avez échappé belle, jusqu'à la prochaine.

>
Ce serait plus clair, je reste convaincu que Macron voulait mettre Bardella à l'épreuve du pouvoir. Avec un scrutin à la britannique Bardella serait premier ministre...

>
Ce n'est peut-être pas ce qu voulait Jordan Bardella ?

 Ben non, les législatives réservant leur part de surprises, les électeurs votant pour un sortant dont ils sont satisfaits sans tenir compte de son appartenance politique epuvent chambouler les résultats.
 

Il devrait être évident pour tout le monde que  la politique ne gouverne pas, elle ne fait que gérer la mise en application pratique, de décisions ou de stratégies, économiques ou culturelles, élaborées ailleurs qu'au parlement.
La politique n'est là que pour produire le discours d'accompagnement, et focaliser les divergences sur la sémantique de ce discours, et ainsi, masquer la réalité inavouable du projet.
Il y a trois façons de se tromper face à ça: Etre pour, être contre, ou vouloir un moyen terme négocié.
Ces positions admettent l'implicite, et ne discutent que de ce qu'on leur laisse discuter, pour les occuper.
Et en plus, c'est un métier.
C'est de l'inavouable dont il faut discuter, pas des différents leurres qui servent à le masquer.
Et le Parlementarisme c'est la forme démocratique de ce masquage, et rien d'autre.
Ce que tous ces gens ont en commun est beaucoup plus important que ce qu'ils prétendent qui les divise.
Alors la structure adapte les conséquences des réponses, aux besoins initiaux, de la consultation, qui ne devait servir qu'à valider le projet initial.