«Il est urgent d’établir un cordon sanitaire autour de La France insoumise»

Et voilà le travail !
en fait le soit disant front républicain masquait pour partie un front anti républicain d'une gauche radicale, anti capitaliste.
Et voilà comment les électeurs contre se sont fait enfler !
Il reste quand même un détail croustillant puisque cette gauche qui se dit anti capitaliste répend un programme qui justement se nourrit des bénéfices produits par le capitalisme.
Et donc elle ferait quoi cette gauche sans le capitalisme qu'elle dénonce ?
Pire même, elle fera comment pour couvrir les déficits que ses dépenses pharaoniques vont engendrer si une crise du type 2008 survient et que les valeurs boursières s'effondrent, les bénéfices avec.
Elle aura recours à la dette ?
Mais qui achètera ses obligations sinon des capitalistes ?
mais bien évidemment avec la gauche anti capitaliste jamais de crise puisque la crise c'est justement la faute des capitalistes.
Point de crise économique ni de même de crise sanitaire ou climatique puisque ça aussi c'est la faute du capital.
Au fond que ressort-il de ces postures plus connes les unes que les autres.
Que pour le FnRn, tout est de la faute des arabes et des noirs.
Pour la gauche radicale, tout est de la faute du capitalisme.
Plus cons que les extrêmes y'a pas !
Et surtout, n'oubliez pas.
Quand vous irez voter, voter contre.
Ca vous permettra d'être pris pour des cons une fois l'élection passée.
 Pour l’essayiste*, la «purge» au sein de La France insoumise a mis en lumière la nature profonde de ce mouvement. Il est temps, plaide-t-il, de faire barrage à ce groupe qui ne cache pas sa volonté de conflictualiser la société française.
Connaissez-vous le CDPFI ? C’est dommage, car lui aimerait certainement vous connaître. Le comité des principes de La France insoumise manie l’écriture inclusive aussi sûrement que la phraséologie révolutionnaire ou la sanction arbitraire. Ce groupuscule de treize membres est sorti de l’anonymat cette semaine. D’un simple courriel, il a décidé du renvoi de Pascale Martin, qui a eu le mauvais goût d’être battue aux législatives à Périgueux, et de rejoindre l’association des toujours plus nombreux ex-aficionados de Jean-Luc Mélenchon, L’Après (Clémentine Autain, Alexis Corbière, Raquel Garrido, etc.). « Le parti se renforce en s’épurant » - c’est du Lénine.
Depuis les élections législatives improvisées et imposées par un président mal inspiré, les masques de l’extrême gauche tombent, les uns après les autres. Derrière le folklore des kermesses et saucisses, derrière les visages chérubins ou angéliques…