Sujet : Re: Groenland
De : pc (at) *nospam* ue.com (P Cormoran)
Groupes : fr.soc.politiqueDate : 13. Feb 2025, 20:20:02
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Volkin avait énoncé :
(..........)
L’inversion des rôles serait de prétendre que c’est à moi de prouver que ces documents ne disculpent pas les autorités soviétiques, alors que c’est vous qui affirmez qu’ils le font. Vous avancez que les traductions littérales des ordres russes prouvent qu’il n’y a rien à charge ? Très bien, alors citez ces ordres, expliquez leur contenu et démontrez précisément en quoi ils disculpent les autorités.
>
C'est vous qui prétendez que les ordres en question existent et prouvent
ce que vous voulez qu'ils prouvent.
>
Montrez leur texte.
>
Si vos accusations des pouvoirs soviètiques ont une base montrer la.
Encore une fois, vous semblez inverser les rôles. Vous affirmez que les ordres soviétiques et les documents en question n'ont aucune valeur, mais c’est à vous de prouver cette affirmation, pas à moi. J’ai fourni des références précises et des travaux d’historiens qui se basent sur ces documents. Si vous remettez en cause leur existence ou leur interprétation, il vous revient de fournir des preuves contradictoires. Pour l’instant, c’est vous qui ne montrez aucune source ou texte qui invalide les conclusions des historiens. Si vous contestez leur validité, expliquez en quoi cela remet en cause les faits établis.
(..........)
Votre exigence est absurde : vous demandez que je prouve la culpabilité des autorités soviétiques en citant exclusivement des phrases issues des originaux,
>
Oui.
>
alors que l’analyse historique repose sur un travail d’interprétation
>
On ne peut pas accuser des gens sur une interprétation.
Une interprétation historique ne consiste pas à accuser sans fondement, mais à analyser des faits et des documents dans leur contexte pour en tirer des conclusions basées sur des preuves. L’histoire n’est pas une question de certitudes absolues, mais de raisonnements étayés par des sources fiables. Les historiens ne 'accusent' pas sans preuve, ils établissent des faits en recoupant des sources primaires, des témoignages et des analyses de divers documents. Refuser cette approche est non seulement une incompréhension de la méthode historique, mais aussi une tentative de détourner l’attention des éléments réels et vérifiables qui existent.