Re: Groenland

Volkin avait soumis l'idée :
(..........)

Votre réponse ne repose sur aucun argument sérieux.

>
Pourquoi vous voulez un argument sérieux face à l'absense totale d'arguments ?

Vous semblez ignorer que ce sont vos affirmations qui manquent de fondement, et non les miennes. J’ai fourni des références archivistiques précises et des travaux d’historiens reconnus, qui sont des éléments de preuve solides. En revanche, vous vous contentez de répéter des affirmations sans jamais fournir de sources ou d'analyses critiques pour étayer vos propos.
Si vous estimez qu'il n'y a pas d'arguments valides de ma part, il vous appartient de démontrer en quoi les sources que j’ai citées sont erronées ou falsifiées. Continuer à ignorer ce point central et à éviter de fournir des éléments concrets pour appuyer vos affirmations n’est pas un argument, c’est une tentative d’éluder la discussion.
(..........)

Les documents en question sont accessibles dans les archives et ont été étudiés par des historiens reconnus, qui en ont publié des analyses sourcées. Ce sont ces analyses et références que j’ai fournies.
 Votre demande de "citer des passages" est une tentative de détourner le débat. Un travail historique ne consiste pas à balancer des extraits isolés sans contexte, mais à analyser les documents dans leur ensemble en les recoupant avec d’autres sources.

>
D'accord, publiez alors d’autres sources aussi

J’ai déjà fourni des sources fiables et vérifiables, comme les archives soviétiques (RGASPI) et les travaux d’historiens spécialisés tels que Werth, Applebaum et Conquest. Exiger que je publie encore plus de sources alors que celles-ci sont déjà largement documentées dans la littérature académique est une tactique pour éviter de répondre sur le fond.
Si vous souhaitez réellement avancer dans ce débat, il est de votre responsabilité de consulter ces sources et documents publiés, qui sont accessibles à tout chercheur. Je vous ai indiqué des références précises, et vous pouvez les consulter par vous-même. Se contenter de répéter la demande de nouvelles sources sans prendre en compte celles déjà citées ne mène à rien.
(..........)

Vous exigez un texte brut, mais ce n’est pas ainsi que fonctionne la recherche historique : l’important est l’analyse croisée des sources

>
Vous avez prétendu que le telegramme prouve la culpabilité des pouvoirs
soviètiques, maintenent vous semblez dire que le texte du telegramme
ne prouve rien en soi, il fait le "croiser" et "analyser".
>
D'accord, croisons et analyserons.
>
Allez y. Avec quoi il faut "croiser" et qu'est ce qu'il faut "croiser" ?

Il semble que vous confondiez le rôle de l’analyse historique avec une recherche de preuve purement littérale. Le télégramme de Staline et Molotov est une source primaire qui s’intègre dans une analyse croisée avec d'autres documents et témoignages pour comprendre le contexte et les conséquences des actions des autorités soviétiques.
Il ne s'agit pas de prouver la culpabilité par un seul document isolé, mais de mettre en perspective ce télégramme avec d'autres éléments de l’époque, comme :
1) Les rapports de l'OGPU qui décrivent la situation catastrophique dans les campagnes ukrainiennes et les mesures répressives prises par le gouvernement.
2) Les témoignages des survivants et les études démographiques qui montrent l'ampleur de la famine.
3) Les archives officielles soviétiques qui confirment les mesures prises par le gouvernement, telles que les fermetures de frontières et les arrestations de paysans.
L’analyse ne se résume pas à une simple lecture littérale d’un texte, mais à une mise en relation de différentes sources pour démontrer les politiques d'État qui ont mené à des événements comme l'Holodomor. Si vous souhaitez croiser et analyser ces éléments, il est essentiel d’avoir une vision globale et non de chercher une "preuve" isolée.