Re: Groenland

Volkin a formulé ce vendredi :
(..........)

C’est à celui qui affirme un fait d’en apporter la preuve. C’est exactement ce que j’ai fait en citant des archives soviétiques

>
Non vous n'avez rien cité du tout. Vous avez donné des noms, dates
et numéros bidon.
>
Quand on cite quelque chose, un document, un auteur, un livre
on reproduit le texte, on donne un extrait, généralement
entre les guillements, p.e :
>
"Le Sovnarkom de l'URSS ne doute pas que cette migration des paysans,
tout comme celle de l'Ukraine l'année dernière, ait été organisée par
les ennemis du pouvoir soviétique, les mencheviks et les agents de la
Pologne, dans le but de mener une propagande 'à travers les paysans'
dans les régions du nord de l'URSS contre les kolkhozes et, en général,
contre le pouvoir soviétique. L'année dernière, les organes du parti,
du soviet et de la Tchéka en Ukraine ont laissé passer cette tentative
contre-révolutionnaire des ennemis du pouvoir soviétique. Cette année,
il ne doit pas y avoir de répétition de l'erreur de l'année dernière."
>
Là vous avez une citation.
>
On voit le contexte, l'ordre et la raison.
>
Parfaitement clair.

Vous confondez citation et référence. Ce n’est pas parce qu’un extrait n’est pas directement reproduit qu’il est "bidon". J’ai donné des références précises aux archives soviétiques et aux travaux d’historiens qui les ont analysées. Ces sources existent et sont accessibles dans les ouvrages spécialisés et les fonds d’archives.
De plus, votre propre citation illustre exactement le problème : ce texte justifie la fermeture des frontières internes de l’URSS pour empêcher les paysans ukrainiens de fuir la famine, en les accusant faussement d’être manipulés par des ennemis du régime. Or, cette mesure a directement conduit à l’aggravation de la famine, empêchant des millions de personnes d’échapper à la mort.
Vous prétendez que mes références sont "bidon" sans démontrer en quoi elles le seraient. Si vous contestez leur authenticité, prouvez-le avec des sources vérifiables au lieu de vous contenter d’affirmations gratuites.