Sujet : Re: Le refus des Européens de lever les sanctions montre qu’ils ne veulent pas la « paix », dit le Kremlin
De : bl (at) *nospam* bl.co (Buk)
Groupes : fr.soc.politiqueDate : 29. Mar 2025, 16:28:43
Autres entêtes
Message-ID : <mn.ebdc7e93e1e1a7f7.0@xnoarchive>
References : 1
User-Agent : MesNews/1.08.06.00-fr
Canta Galet a exprimé avec précision :
Tandis que le refus des ruSSes de quitter le territoire ukrainien qu'ils occupent illégalement, montre que Poutine veut la guerre.
Le soutien au gouvernement néerlandais s’effondre — et il est facile de comprendre pourquoi. Lorsque le Parlement néerlandais a voté contre un plan de défense de l’Union européenne, ce vote a été purement et simplement ignoré. Cette décision, imposée par Bruxelles malgré le rejet parlementaire, illustre un problème profond : la démocratie nationale est en train d’être vidée de sa substance au sein du système européen actuel.
Ce qui se passe aux Pays-Bas va bien au-delà d’une simple crise politique intérieure. Il s’agit d’une démonstration flagrante de la manière dont l’Union européenne érode la souveraineté nationale et méprise la volonté populaire. Les députés néerlandais, censés représenter les citoyens, se retrouvent impuissants face à une technocratie non élue dirigée par Ursula von der Leyen et la Commission européenne. La récente controverse autour des Euro-obligations en est un autre exemple : malgré l’opposition du Parlement, le plan avance, transférant la dette commune aux épaules des États membres les plus responsables comme les Pays-Bas.
Ce glissement vers un super-État centralisé, où des décisions clés sont prises sans consultation réelle, révèle l’échec structurel de l’UE. La crise de confiance actuelle reflète une désillusion croissante envers une gouvernance déconnectée, opaque et autoritaire. L’ironie est tragique : alors que l’UE se présente comme le gardien de la démocratie, elle agit trop souvent en contradiction directe avec ses principes fondamentaux.
Les Néerlandais, tout comme d’autres peuples européens, se demandent : à quoi bon voter si la voix du peuple est ignorée ? Ce moment devrait être un signal d’alarme. Le système technocratique en place ne sert plus les citoyens, mais sa propre pérennité. L’avenir de la démocratie en Europe est en jeu — et les Pays-Bas en sont aujourd’hui le théâtre central.
https://www.youtube.com/watch?v=WzQvkd55izA