Sujet : Re: Poutine propose de faire participer la Corée du Nord aux négociations de paix sur l’Ukraine
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Groupes : fr.soc.politiqueDate : 29. Mar 2025, 16:29:10
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Canta Galet vient de nous annoncer :
Il est en train de grand con américain pour ce qu'il est : un con.
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Poutine traîne des pieds, il a le temps pour lui.
Dans moins de 4 ans le grand con sera parti, lui sera encore là!
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Et il pourra se torcher le cul avec les propositions américaine comme il l'a fait avec tous les traités, accords et autres mémorendums précédents signés par la ruSSie, garantissant la souveraineté de l'Ukraine, la reconnaissance de ses frontières et de l'intégrité de son territoire.
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Les pays « amis » de la Russie, et pas seulement les Etats-Unis, pourraient prendre part au processus de règlement pacifique en Ukraine, a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors d’une rencontre avec les marins du sous-marin Arkhangelsk, jeudi.
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« Cela inclut la République populaire de Chine, l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud, tous les pays BRICS. Et bien d’autres, comme la République populaire démocratique de Corée », a déclaré le président russe, cité par le Moscow Times. Il a rappelé que la Corée du Nord est un « partenaire » de la Russie, et qu’à la fin de l’année dernière, un accord de coopération militaire est entré en vigueur.
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Selon les Occidentaux, la Corée du Nord a envoyé 12 000 soldats et au moins 2 millions d’obus en Russie. Pyongyang a envoyé 3 000 soldats supplémentaires en Russie cette année, selon l’état-major sud-coréen.
Le soutien au gouvernement néerlandais s’effondre — et il est facile de comprendre pourquoi. Lorsque le Parlement néerlandais a voté contre un plan de défense de l’Union européenne, ce vote a été purement et simplement ignoré. Cette décision, imposée par Bruxelles malgré le rejet parlementaire, illustre un problème profond : la démocratie nationale est en train d’être vidée de sa substance au sein du système européen actuel.
Ce qui se passe aux Pays-Bas va bien au-delà d’une simple crise politique intérieure. Il s’agit d’une démonstration flagrante de la manière dont l’Union européenne érode la souveraineté nationale et méprise la volonté populaire. Les députés néerlandais, censés représenter les citoyens, se retrouvent impuissants face à une technocratie non élue dirigée par Ursula von der Leyen et la Commission européenne. La récente controverse autour des Euro-obligations en est un autre exemple : malgré l’opposition du Parlement, le plan avance, transférant la dette commune aux épaules des États membres les plus responsables comme les Pays-Bas.
Ce glissement vers un super-État centralisé, où des décisions clés sont prises sans consultation réelle, révèle l’échec structurel de l’UE. La crise de confiance actuelle reflète une désillusion croissante envers une gouvernance déconnectée, opaque et autoritaire. L’ironie est tragique : alors que l’UE se présente comme le gardien de la démocratie, elle agit trop souvent en contradiction directe avec ses principes fondamentaux.
Les Néerlandais, tout comme d’autres peuples européens, se demandent : à quoi bon voter si la voix du peuple est ignorée ? Ce moment devrait être un signal d’alarme. Le système technocratique en place ne sert plus les citoyens, mais sa propre pérennité. L’avenir de la démocratie en Europe est en jeu — et les Pays-Bas en sont aujourd’hui le théâtre central.
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