Sujet : Re: Question toute bête
De : r.hachel (at) *nospam* tiscali.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.soc.politiqueDate : 14. Apr 2025, 18:48:43
Autres entêtes
Organisation : Nemoweb
Message-ID : <AAyIEW4MiOApG_sGwzjDwFxHBtM@jntp>
References : 1 2
User-Agent : Nemo/1.0
Le 14/04/2025 à 19:25, 🐱Stéphane a écrit :
Le 14/04/2025 à 16:06, Richard Hachel a écrit :
Admettons qu'un pays a 3 mille milliard de dette dans sa monnaie.
Ah, merde, la dette est trop impressionnante, on peut plus rembourser...
Admettons qu'il fasse comme les russes en 1917, qu'il décide de plus rembourser sa dette, et envoie
les autres balader.
Il se passe quoi?
Sans arrêt on nous bassine : "On peut plus rembourser, on va crever."
Bon d'accord, si on rembourse, on va crever.
Mais si on rembourse pas, il arrive quoi?
R.H.
La France sera mise sous tutelle économique comme la Grèce et ce seront des institutions financières étrangères qui gouverneront à la place de l'incompétence de nos politiciens.
Mise sous tutelle par qui?
Par Bruxelles? Bruxelles, combien d'ogives thermonucléaire sous ses Rafale? Et mes couilles, je vais les rembourser aussi?
Mais qu'est ce que c'est que cette maladie, de baisser sans arrêt la tête, et de croire que d'autres sont oints par Dieu pour imposer leur volonté au monde entier?
Qu'est ce que c'est que ce système d'emprunt privé que l'on pense obligatoire, alors qu'il n'existait pas il y a un siècle, et que le monde ne s'en portait que mieux.
QUI impose cette dette, pourquoi?
Et si tous les pays endettés disaient demain : "moi, je paye plus cette dette toxique, qui est la plus grande arnaque mise au point dans l'histoire de l'humanité"?
Mais c'est quoi cette religion à la con qui veut qu'on paye une dette mafieuse (principe voté en catimini, de nuit, en janvier 1972) sans jamais s'interroger sur ce qu'on est en train de faire, ni à qui l'on est en train de payer? Ni sur l'obligation de tenir ses "promesses" de remboursement, s'il est avéré qu l'idéologie de base était de type mafieux (sinon pourquoi la voter à trois heures du matin dans un hémicycle quasi vide, et en des termes et des conséquences incompréhensibles par le commun des citoyens de l'époque). Réponses croustillantes attendues.
R.H.