Sujet : Re: Euromerde n'en a jamais assez.
De : r.hachel (at) *nospam* tiscali.fr (Richard Hachel)
Groupes : fr.soc.politiqueDate : 04. May 2025, 17:59:49
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Le 04/05/2025 à 18:10, Lebref a écrit :
Richard Hachel :
Pour expliquer les souffrances du monde, on oppose capitalisme et
communisme, deux verrues universelles.
Le capitalisme est instinctivement perçu comme malsain par les populations ;
en revanche le communisme, qui veut enlever leur butin des mains des
capitalistes pour le rendre aux peuples, est l'objet d'une virulente
campagne calomnieuse avec des moyens colossaux depuis le début du XXe
siècle, au moins.
De Gaulle disait que la solution consistait en la liberté d'entreprise,
mais avec surveillance de l'Etat, pour éviter les dérives. Il appelait cela la planification.
L'Etat bourgeois n'empêche pas les dérives, mais les entretient.
C'est particulièrement flagrant depuis 2007 et l'arrivée des néo-cons
euro-atlantistes au pouvoir. Sarkozy, Hollande et Macron, une rapide et constante dégringolade venue se
cumuler avec des décennies de libéralisme eurobéat après deux siècles
d'enrichissement bourgeois continu.
Là encore très bonne analyse.
Pouvons nous résumer?
1. La capitalisme : le règne des fainéants (tu payes mon yacht).
2. Le communisme béat : le règne des profiteurs (tu payes mes allocs). 3. Le fascisme virulent : le règne des détraqués (tu payes pour le parti nationaliste)
4. L'Islamisme jihadique : le règne des crétins (tu payes pour la grandeur de Aôôôllah)
Les quatre chevaux de l'apocalypse, et la couleur de leur drapeaux respectifs.
"Et j'ai vu un cheval blanc, et j'ai vu un cheval rouge, et j'ai vu un cheval noir, et j'ai vu un cheval vert pâle"...
Le quartet gagnant ; et dans l'ordre de sortie. Quelle bite, ce Jésus-Christ! Le libéralisme, premier cheval de l'apocalypse est bien blanc. Très beau de loin. Quoi de plus beau que de dire "vous êtes libre les mecs, liberté d'entreprise, liberté de circulation des marchandises (mais vous vous êtes en couvre-feu, LOL), liberté d'association, liberté de pensée (sauf si on est contre la pensée autorisée). "Et il sortit pour vaincre et assurer sa victoire."
Quoi de plus clair qu'il ne pouvait que gagner et avoir la peau des trois autres?
Trois autres qui ne valaient pas beaucoup mieux, admettons-le. R.H.